Prisonnière d'un Contrat de Mariage | Tome II | Chapitre 7

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TOME II

CHAPITRE 7

UNE RENCONTRE FORTUITE.

« LE POINT DE VUE DE VICTORIA »

Je soulève la jeune femme pour la rassurer que son secret est bien gardé avec moi.

___Moi : Lia, tu n'as pas besoin de t'agenouiller à mes pieds pour l'amour du ciel

__Elle : Tu ne diras rien à la famille ?

__Moi : Je te promets que ça restera entre nous deux.

__Elle : Merci Victoria.

__Moi : Tout ira bien maintenant.

Je suis monté à l'étage avec la jeune femme qui est terrifiée par tous ces événements. Je lui donne un bain et l'aide à mettre des vêtements propres. Je l'accompagne dans ce grand lit tout en arrangeant ses oreillers sous sa tête. J'ai promis que je serais là son réveil.

Je suis allée m'occuper de son fils qui s'était réveillé à cause du bruit des coups de feu qui résonnaient dans toute la maison.

Finalement, j'ai bien nettoyé la pièce, ne laissant aucune trace ni à son mari ni à la gouvernante afin qu'ils puissent poser des questions à la jeune femme.

J'avais beaucoup de questions qui me traversaient la tête. Pourquoi Lia fréquentait-elle un fétichisteur ? Je ne veux pas lui poser la question pour ne pas paraître indiscrète. Si elle a besoin de parler. Je serai là pour elle.

Je suis heureuse que le Tout-Puissant m’ait utilisé pour aider Lia. Depuis que je me suis réveillé ce matin, mes pensées vont à elle et à son fils, et ce n'est pas quelque chose que je fais habituellement, aller à sa maison même si nous vivons dans la même ville à cause de nos différences dans le passé, même si elle est ma belle-sœur.

J'avais pris ma décision finale de couper les ponts avec elle même pour les fêtes traditionnelles, je n'y ai jamais participé par rapport à elle et mon beau-père pour éviter les jugements. Elle m'avait même accusé de vouloir lui voler Lee-minho, son mari, pour remplacer Christian à la fete du premier anniversaire de mon fils. Elle m'a fait beaucoup de mal ce jour-là mais en sortant de mon rendez-vous, j'ai entendu cette voix dans ma tête me disant d'aller le voir et là je suis tombée sur cette scène improbable.

Heureusement, j'avais cette arme dans ma voiture et je suis allé la chercher quand j'ai vu Lia se déshabiller à travers les vitres transparentes qui donnaient sur l'entrée de la maison.

"LE POINT DE VUE D'ETHAN"

Dans la vie, nous faisons des erreurs que nous paierons toute notre vie, parfois lorsque nous agissons bêtement sans penser aux conséquences ou aux représailles de nos actes impardonnables.

J'avoue que j'ai joué avec Carla parce que j'étais très en colère contre Christian à ce moment-là, pensant qu'il avait volé le cœur d'une femme qui ne m'avait jamais aimé ni m'a considéré comme un vrai homme malgré les nombreuses années que nous avons partagées ensemble.

Elle était toujours obsédée par notre ami. Bref, pour me sentir soulagée, je m'en suis venger sur cette petite fille, pour laquelle j'avais une considération absolue, même si je ne le voulais pas au début à cause de mon amitié avec son frère malgré le fait qu'à l'époque nous étions "très proches" secrètement.

J’ai fait la plus grosse erreur de toute ma vie en couchant avec Meirya et en la rejetant un mois plus tard. Je me sentais mal à l’aise avec mes actions impensables sachant que c’était moi qui l’avais mise dans cette vie et qu’elle avait vécu si dur pour donner à notre fils une vie stable et meilleure.

Si je l’avais écouté ce jour-là avant de lui dire tout ce que j’avais en tête, j’aurais peut-être agi différemment.

J'ai pris cette photo d'elle et de notre fils sur son bureau pour jeter un œil qui m'a fait me sentir encore plus mal que je ne l'étais déjà.

Une des mains m'a arraché la photo pour la remettre à sa place. J'ai levé les yeux et j'ai vu que c'était Meirya qui s'éloignait pour s'asseoir sur sa chaise.

__Elle : Tu as le culot de te pointer sur mon lieu de travail. Elle m'a lancé un rugissement.

__Moi : Tu ne m'as pas laissé le choix.

___Elle : Quels sont mes problèmes ?

__Moi : Je veux simplement être dans la vie de mon fils. Je suis désolé pour mes actes Meirya, je n'aurais pas dû t'utiliser pour atteindre ton frère. J'ai pris le temps d'essayer de le convaincre de me laisser voir mon fils.

__Elle : Ethan, je veux en voir plus. Si tu ne cessais pas de contourner autour de mon fils, je mettrais ma menace à exécution car tu ne m'as laissé aucune autre solution.

__Moi : Je comprends que tu veuilles te venger de moi mais s'il te plaît, Aaron est mon fils et il est innocent de cette bataille.

Elle laissa échapper un rire cynique.

__Elle : Ne m'accuse pas. Je vais te rafraîchir la mémoire, on dirait que tu aies oublié. Carla, je n'épouserais jamais une femme comme toi. Tu ne pourrais jamais être la mère de mes enfants. Que penses-tu, Carla, qu'un homme comme moi peut s'intéresser à une petite fille moche malgré que ta famille soit riche, tu es pathétique.

Elle s'est levée de sa chaise pour me faire face avec un regard sombre et me répéta chacun de mes mots ce jour-là.

__Elle : Ce soir, tu m'as détruite Ethan. J'ai lutté et souffert en fuyant ma famille pour accepter cette grossesse que j'allais annoncer ce jour-là. Tu n’avais aucune compassion, mais ton honnêteté était destructrice.

Elle essuya le coin de ses yeux avec ses doigts pour que ses larmes ne coulent pas.

Elle secoua la tête tristement.

__Elle : J'ai déshonoré ma famille en donnant naissance à mon fils, ma mère m'a interdit de lui parler et à Lee-minho aussi juste parce que tu m'as vendu le rêve juste pour coucher avec toi. Je te préviens Ethan Kim, Aaron Lee n'a pas de père et va fonder ta propre famille parce que je pense qu'il est temps pour toi de passer à autre chose.

Elle vient ouvrir la porte et je l'ai fermée brutalement.

___Elle : J'ai beaucoup de travail Ethan.

__Moi : Nous n'avons pas fini Meirya.

__Elle : Tu peux arrêter de m'appeler comme ça. répondit-elle agacée.

__Moi : Mais c'est ton deuxième prénom. J'ai irrité à mon tour.

__Elle : Mlle Lee ou Mme Hyun feront l'affaire. Et ne reviens jamais à mon bureau car ce n'est pas un jeu comme celui auquel tu es habitué.

Elle m'a soudainement lâché quand j'ai vu cette expression faciale. Elle m'a tendu la main pour que je libère l'espace.

Je fixais tendrement la jeune femme qui tournait la tête dans l'autre sens pour m'éviter complètement.

Je tournai les talons pour partir.

La jeune femme poussa la porte après le départ du jeune homme dans une angoisse capitale qu'elle ressentait au niveau de son cœur.

« LE POINT DE VUE DE VICTORIA »

J'étais assis au restaurant et j'avais réservé une table en terrasse pour avoir un peu d'intimité pendant notre date, en regardant autour de moi, il était 20h45. J'ai haleté, complètement paniqué.

J'ai pris mon sac qui était sur la chaise à côté de moi pour prendre mon téléphone et le remettre à sa place.

Je vérifiais tout le temps mon téléphone sur l'application WhatsApp, Christian voyait mes messages depuis des heures, il ne m'a laissé aucun message en retour.

Un serveur s'approche.

__Madame, souhaitez-vous commander maintenant ?

__Moi : Juste un verre d'eau minérale. J'ai répondu au jeune homme.

__D'accord, Madame.

Il est allé chercher le verre d'eau puis est venu me servir deux minutes plus tard.

__Moi : Je t'appellerai plus tard.

__Excusez-moi, Madame.

J'ai pris une gorgée pour m'éclaircir la gorge sèche, due à mon anxiété face aux nouvelles réactions de Christian depuis son arrivée, qui me laissaient indifférente à ses vieilles habitudes.

Je devrais avoir une excellente communication avec mon mari, s'il continue à jouer comme un enfant, il doit remettre les pieds sur terre car il a des responsabilités et surtout père de deux enfants qui a besoin de sa présence plus que tout.

J'étais plongé dans mes pensées. Je sentais des lèvres froides parcourir mon cou dans un baiser sensuel, mes yeux étaient tout bridés.

__Lui : J'adore ton odeur, Mme Lee. Il a articulé d'une voix enregistrée dans mon oreille.

__Moi : Merci Monsieur Lee. Je répondis la bouche grande ouverte, ravie de le voir.

__Lui : Tu n'embrasses pas ton homme ? Il m'a interrogé.

J'ai tenu cette tête pour que nous puissions partager un long et délicieux baiser. Je ne veux pas séparer ses lèvres, même un instant.

__Lui : Laissons un peu pour à la maison. Dit-il contre ma bouche, ce qui me fit rire.

Il m'a fait un bisou sur le nez avant d'aller occuper cette chaise en face de moi.

__Moi : Merci Eun-won. Je pensais que tu n'allais pas venir voir ta réaction ce matin.

Il m'a montré ce sourire capricieux en regardant d'un côté à l'autre puis m'a fixé une deuxième fois.

__Moi : Que signifie ce regard ? Je cherche une définition comparative de cette fixation intense qu'il a placée dans ma direction.

__Lui : Je ne fais pas partie de ton équipe, Mme Lee, je suis votre mari. Il a doucement pointé son doigt vers moi pour me faire descendre de mon piédestal.

__Moi : N'es-tu pas fier d'être le mari d'une femme de ce niveau ? J'ai demandé courageusement.

___Lui : Ah ! Il rit.

__Moi : Je connais beaucoup d’hommes qui ont de sérieux problèmes avec le succès de leur femme. J'ai ajouté en entamant ce sujet même si je sais qu'il est différent de ses hommes.

__Lui : Pourquoi le succès de ma femme est-il un problème ? Au contraire, je suis fier que la mère de mes deux enfants ait eu une belle carrière. N'oublies pas que j'ai financé tes études [Ecole de la Magistrature] jusqu'à ton master, toute cette aide qui est venue de Meirya, c'est moi qui étais derrière tout ça.

J'ai ri parce que son expression glaciale, il est trop vénérable à mon goût.

__Moi : C'est pour ça que je devrais te remercier ? J'ai joué avec la torche qui était dans mon verre.

__Lui : Pas du tout. C'était mon droit, tu es ma femme, je croyais en tes capacités et je pensais que tu étais en être capable. Il posa doucement sa main sur la mienne.

__Moi : Et tu ne penses pas que je mérite que tu me dises que tu m'aimes ou que tu t'exprimes ouvertement envers cette femme qui est ton épouse et aussi la mère de tes deux enfants. J'ai tendu la main pour toucher sa poitrine, là où se trouvait son cœur.

Il entrelace ses mains dans les miennes pour les amener au niveau de ses lèvres, les yeux fermés.

__Moi : Je t'aime vraiment Eun-won. Tu es ma vie, bébé. Il a ouvert les yeux pour me sourire tout en tenant fermement mes mains.

__Moi : Je veux t'entendre me dire que tu m'aimes aussi, bébé. Je répétai lentement au jeune homme.

__Lui : Victoria, je n'aime vraiment pas ces mots particuliers pour exprimer mon véritable amour pour toi. J'ai fait des milliers de sacrifices pour prouver mon amour, ma dulcinée.

__Moi : Tu ne penses pas que je mérite de l'entendre de ta bouche, au moins, nous sommes mariés depuis presque 8 ans. Je t'ai rencontré à mes 20 ans, nous nous sommes mariés, nous nous sommes séparés et nous nous sommes remis ensemble encore et encore, puis est venue la naissance d'Ash puis celle de Tristan. Nous avons traversé beaucoup de choses ensemble, bébé, et nous les avons toutes surmontées.

__Lui : Ce n'est pas une question de mérite Victoria.

J'allais retirer mes mains des siennes, il m'arrêta à temps, il me fit me lever pour venir m'asseoir doucement sur ses genoux.

J'ai exécuté ses ordres sans réponse. J'ai mis mes deux bras autour de son cou pour poser ma tête sur son visage.

Il serrait tendrement ma taille.

__Lui : Tu m'as trop manqué pour être en colère contre toi. Tu es devenu trop capricieuse à mon avis. Il m'a glissé à l'oreille.

__Moi : tu es privé de sexe jusqu'à ce que tu me dises que tu m'aimes autant que moi. J'ai répondu gentiment.

__Lui : Victoria, tu ne peux pas faire ça. Est-ce un ultimatum ? Elle awcrié à l'injustice.

__Moi : tu n'as pas le choix pour l'instant.

« LE POINT DE VUE CHRISTIAN »

Elle s'est détachée de moi pour m'avertir.

J'ai commencé à la chatouiller pour qu'elle éclate de rire, j'ai fini par obtenir ce que je voulais. Elle a posé sa tête sur mon épaule, incapable de fermer la bouche, ce qui a attiré l'attention des gens autour de nous.

Nous marchions sur le trottoir, en sortant du restaurant, elle m'a attrapé le bras avec force et j'ai mis mes deux mains dans mon manteau.

__Elle : Je voulais te parler, bébé.

__Moi : À propos de quoi, Mme Lee ?

__Elle : De maman! Elle a répondu lentement.

Je me suis arrêté pour la regarder un instant et elle voulait éviter ma fixation excessive.

__Elle : Je déteste ce regard. Elle boude.

__Moi : As-tu peur ? J'ai demandé.

__Elle : Je suis toujours pétrifiée quand tu me regardes comme ça.

__Moi : Non, tu n'avais pas peur, sinon tu ne m'aurais pas parlé de ma mère biologique, Victoria.

__Elle : Est-ce que je compte beaucoup pour toi ?

__Moi : Évidemment, sinon je n'affronterais pas tout ça pour être avec toi, ma dulcinée. Que veux-tu que je te dise pour te faire croire que tu es la femme qui a conquis mon cœur ?

__Elle : Je sais mon amour cependant tu devrais m'écouter attentivement en tant que ta femme.

J'ai levé les yeux au ciel.

__Elle : Je t'en supplie, bébé. Elle m'a demandé d'une voix suppliante.

__Moi : D'accord Mme Lee.

__Elle : Très bien. Promets-moi que tu écouteras la version de ta mère sur son abandon. Ensuite tu pourras décider si tu le pardonneras ou non, bébé. Si tu obéis à ma volonté, nous allons passer ce week-end amoureux de rien que nous deux pour rattraper le temps perdu.

Elle a passé son doigts sur ma poitrine jusqu'à mes lèvres. J'ai réparé ma petite femme qui veut me berner.

__Moi : Cela vient de la manipulation Victoria. J'ai dit pour la deuxième fois, certes tu as la bonne tactique, mais tu devrais la laisser au tribunal ou des autres personnes sauf moi.

Elle s'accrochait à moi et baissait la tête dans un éclat de rire quant a moi qui restais serein à mon argumentation.

__Elle : Tu es incroyable pour moi, bébé. Une petite rectification, ce n’est pas une manipulation, mais plutôt un privilège que je suis venu offrir sur un plateau d'argent. [Continue-t-elle de rire] Je pensais que tu étais plus intelligent que ça. Je suis totalement trompé. Elle m'a souri fièrement.

__Moi : Je pourrais accepter si les choses allaient à mon rythme. J'ai ajouté un regard de l'autre côté en serrant la mâchoire.

__Elle : Tu inverses les rôles, mon cher mari. Elle a tapoté mon bras qui était croisé.

__Moi : J'ai simplement appliqué les stratégies puisque tu as utilisé selon ta vocation juridique dans notre conversation, donc je me suis retrouvé à devoir me mettre à ton niveau Maître Harrison Lee. J'ai tiré sa queue de cheval pendant qu'elle poussait ma main pour la lâcher.

__Elle : J'accepte la négociation. Elle a équilibré en jubilant de contentement, elle prend ma main par ces deux pouces.

Je suis passé d’une étape à une autre. Je me suis penché pour lui murmurer doucement à l'oreille. Elle mit sa main sur sa bouche sans cesser de rire tout le temps, les yeux écarquillés de ma demande.

__Elle : Tu es sérieux mon amour. Elle m'a regardé d'une voix étranglée.

__Moi : Quelle est ta décision ? Je maintiens ma position dans notre négociation.

__Elle : Refaisons la négociation, bébé. Elle est contrainte par ce que je lui ai demandé.

__Moi : Soit tu acceptes, soit je ne parle pas à Hélène. J'ai affirmé.

__Elle : Je suis prête mais...

__Moi : Il n'y a pas de mais, ma petite femme.

Je pose mon coude sur son cou pour le ramener vers moi afin que nous puissions continuer à marcher.

Elle voulait se défendre. J'ai mis mon autre main sur sa bouche pour qu'elle ne puisse pas parler. Elle a abandonné quand elle a fini de saccager pour sortir de ma domination mais en vain.

Elle a posé sa tête sur ma poitrine et a enroulé ses deux mains autour de ma taille.

__Elle : Ce n'est pas juste Eun-won. Elle boudait.

__Moi : Je sais ma dulcinée. J'ai ricané.

"POINT DE VUE DE L'AUTEUR"

Christian et Victoria sont rentrés chez eux vers minuit après être partis passer du temps ensemble pour leurs retrouvailles intimes.

Le jeune homme a ouvert la porte à la jeune femme pour qu'elle puisse entrer dans le salon avec ses chaussures à la main. La jeune femme qui se moquait de son mari et interprétait cette façon de parler à l'homme qui ne cessait de le regarder au magasin où ils s'étaient arrêtés pour acheter des friandises, et Christian a osé demander à cet homme : "C'est quoi ton problème ? Pourquoi n'as-tu pas arrêté de regarder ma meuf ?"

Le jeune homme l'a frappée à la tête en réponse à ses moqueries, elle toucha sa tête et grimaça à son mari qui n'arrêtait pas de le taquiner de temps en temps. Ils sont quittés le magasin à cause de cette réaction inattendue de son mari jaloux.

Elle ôta le manteau que son mari lui avait mis pour ne pas attraper froid pendant leur promenade, puis elle prit la paire de chaussures des mains de son mari.

Il ferma la porte derrière lui, et la jeune femme leur tendit la main pour qu'ils regagnent leurs chambres respectives.

Lorsque nous sommes arrivés dans la salle à manger, deux éclats de rire ont attiré notre attention provenant du jardin et surtout des lumières allumées à l'extérieur de la maison qui illuminaient la pièce.

__Victoria : C'est la voix de ta mère, bébé. Je me suis confiée à mon mari qui a soudainement lâché ma main avec un air perplexe.

__Christian : Oui, ma dulcinée. Il répondit sèchement.

__Victoria : L'autre voix, ce n'est pas celle de ta sœur mais qui est cette personne qui venue à la maison si tard ? J'ai posé cette question.

Il ne m'a pas répondu. Il s'est dirigé vers la sortie pour aller voir tout de suite au jardin.

Je le poursuis. Je suis tombée sur cette scène en venant me mettre à côté de mon mari, j'ai vue cette même jeune femme que ce matin à ma porte qui était partie en un éclair sans dire ce qu'elle voulait vraiment.. Ma belle-mère qui riait avec ce petit garçon sur ses jambes qui pourrait avoir deux ans comme mon fils. Ils ont été surpris par notre arrivée dans le jardin.

Cette jeune blonde transforma ce regard intense en un sourire radieux jusqu'au bout de l'oreille en direction de Christian qui avait radicalement changé d'expression faciale.

___Hélène : Vous êtes là, mes enfants. Dit maman.

__Brenda : Tu es là, Christian. Elle est venue rougir dans ses bras et j'ai remarqué que Christian levait les deux mains pour ne pas le toucher. Ce qui m’a surpris dans ses actions.

La jeune femme s'écarta pour embrasser Christian presque sur les lèvres.

__Bonsoir Chris, je suis content de te voir. Elle le lui dit en caressant sa poitrine. Ce qui m’a mis étonnée et c’est que mon mari n’a pas refusé son contact.

__Christian : Qu'est-ce que tu fais chez moi ? Il éleva la voix et lui lança un regard lourd et sombre.

__Que se passe-t-il bébé ? J'interviens dans cette atmosphère qui dégage une chaleur à haute tension et incompréhensible à mon égard.

___Hélène : Ma fille, je te présente ma nièce Brenda Steevens et son fils qui viennent d'arriver ici à New York il y a deux jours pour nous rendre visite.

__Christian : Tu t'en vas désormais. Rugit mon mari à la jeune femme.

Ma belle-mère a interrompu mon mari et cette jeune femme pour venir à mes côtés et me montrer ce bébé que je trouvais mignon.

J'ai pris l'enfant dans mes bras pour le bercer doucement et j'ai ri avec lui qui était heureux de me voir à son tour.

__Moi : Comment s'appelle ce mignon bébé ? J'ai demandé à ma belle-mère.

__Brenda : Son nom est Christian Eun-won Lee. Ajoute la jeune femme au sourire joyeux devant l'expression du visage désemparé de Victoria.

__Moi : Excusez-moi ? Elle regarda attentivement le bébé et son mari en même temps, avec un petit doute qui envahit sa petite tête en l'espace d'une seconde.

Hélène remarqua la froideur de son fils qui regardait Brenda qui se moquait de ses œuvres dans un silence total d'amertume.

___Hélène : Ahhhhh ! Brenda est très drôle, ma fille. En fait, son nom est Christian mais pas Christian Eun-won Lee.

__Christian : Ma dulcinée, c'est l'enfant d'Ethan, il s'appelle Christian Kim en l'honneur de mon amitié avec lui puisque je suis son parrain. Il se tourna vers la jeune femme pour lui répondre, pour ne laisser aucun doute dans son esprit.

__Quoi? Attendez, Ethan a eu un autre enfant après notre fils. Meirya, qui s'accrochait à la porte, poussa un cri de surprise.

___Hélène : Calme-toi, Meirya. La dame a tenté d'arrêter la jeune femme qui s'est présentée en pleine colère.

__Meirya : Christian, tu m'as trahi. Tu as oublié que j'étais ta petite sœur, alors tu as hébergé cette femme sur notre toit connaissant les conflits entre moi et Ethan. Elle n’arrêtait pas de crier fort sur son frère.

__Christian : Meirya, Brenda nous a rendu visite, ce n'est pas comme si elle était venue vivre avec nous. Il a essayé de rassurer sa petite sœur.

__Moi : C'est vrai Meirya. Je défends mon mari.

__Meirya : Il est minuit, que fait-elle à la maison si elle n'est pas venue vivre avec nous ? Elle a continué de manière incontrôlable.

__Brenda : Au moins toi, tu n'es pas comme une certaine personne [En référant à Victoria qui tenait toujours son fils sur sa poitrine] officiellement, je viens vivre avec toi dans cette maison.

Articula-ella avec une voix lumineuse.

Christian secoua la tête dans une totale amertume et dilemme, tout en regardant sa femme qui avait un visage perplexe quant à Meirya, qui sauta sur la jeune femme au bord de la colère et lui arracha ses extensions.

___Meirya : Je ne te laisserai pas me voler, Ethan. Elle hurla en frappant la jeune femme, et elles tombèrent au sol dans un combat violent et féroce.

___Brenda : Christian aide-moi. Elle a hurlé de supplication.

__Meirya : Comment as-tu pu ? Elle a commencé à le gifler dans tous les sens en lui répétant.

__Brenda : Christian..Christian. Elle criait constamment.

Christian bloqua avec ses deux bras la jeune femme qui voulait aller les séparer ainsi qu'Hélène qui vit la situation dégénérer.

Le visage de Brenda était ensanglanté à cause des longs ongles de Meirya qui la griffaient partout.

__Victoria : Bébé, tu dois faire quelque chose, dit-elle à son mari qui s'amusait bien de la sentence de Brenda.

__Christian : Je vous ai conseillé d'appeler Ethan parce que je ne veux pas m'impliquer dans la querelle entre ses femmes. Il élève la voix vers la jeune femme qui est très inquiète de ce qui va se passer ensuite.

____Victoria : Il n'y a rien de drôle là-dedans, bébé. Elle a répondu à son mari qui a affiché ce regard émouvant face à la scène qui amplifie grandement la violence.

__Christian : Relaxe ma dulcinée. Profitons-nous plutôt surtout notre Meirya mène la bataille. Il murmure et rit devant cette scène.

Ce qui n'enchante pas la jeune femme, c'est que Carla est hors de contrôle, elle semble possédée par une frustration dans ses actions illimitées concernant Brenda.

© Auteure : Les Chroniques d'une Haïtienne


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Chapitre 8

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À propos de l'auteur(e)

Randy
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