Amoureuse du Père de ma Meilleure Amie - Tome II - Chapitre 11

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TOME II

CHAPITRE 11

"IL ME RESTE QUE DES SOUVENIRS"

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«POINT DE VUE DE MARWA»

Au milieu de mon sommeil, je sentais à chaque fois une main tirer les cheveux.

J'essaie de retirer cette petite main qui est foulée en deux, elle refuse de lâcher cette mèche de mes cheveux qui m'a tant fait mal.

La douleur réagit à mon cerveau, je n'ai d'autre choix que de me réveiller. J'ouvre les yeux dans cette mine affreuse et suldante.

J'ai ri quand il a posté cette mine angélique avec son pouce dans la bouche. Kliiyane est monté sur ma jambe pour venir m'embrasser.

Il a enroulé ses deux petites mains autour de mon cou et a piétiné mes cuisses dans cette jubilation culminante.

____Kliiyane : Maman, maman.

___Moi : Tu sais comment me réveiller, hein ?

Je l'ai embrassé tout le visage.

J'ai retiré son pouce de sa bouche.

Mes mains caressèrent sa tête et repoussèrent ses cheveux bouclés en arrière pour voir son magnifique sourire d'innocence.

___Kliiyane : viens maman.

Il descendit sur moi, puis il tint le tissu pour glisser hors du lit. Mon fils vint me prendre la main pour le suivre sans arrêt.

Je n'ai même pas besoin de remarquer l'absence de Keyane, il dort pratiquement toutes les nuits avec Sarah. Elle vient le chercher chaque fois qu'il se réveille en pleurant la nuit.

Je regarde l'horloge sur la petite table d'en face du lit. Il est 6 heures du matin.

Je suis Kliiyane jusqu'à la cuisine.

Je l'ai soulevé et posé sur le comptoir.

Je suis allée chercher son biberon pour le préparer avant de commencer le déjeuner

Je dois aller au magazine STEELE aujourd'hui, c'est mon jour de travail. Après avoir déposé les enfants à la maternelle, je dois terminer mon article pour cet après-midi et le remettre au rédacteur en chef pour qu'il soit publié sur le site web du magazine avant la publication du jour à 18 h.

Je l'ai donné le biberon pour qu'il puisse continuer sa vie tranquille sans causer d'ennuis, car je n'ai pas beaucoup de temps.

Je dois être de retour à 9h15.

Sarah s'est approchée de nous dès qu'elle a quitté sa chambre respective. C'était un autre soulagement que Keyane ne se soit pas encore réveillé.

____Sarah : Bonjour Marwa.

____Marwa : Bonjour, ma belle.

Les bras ouverts, elle l'a couvert de baisers partout, mais il l'a repoussée de sa main pour continuer à boire son lait.

« Tu m'as déçue, hein » Dit la jeune femme.

___Sarah. Ajouta Kliiyane d'un seul coup, laissant tomber le biberon vide.

___Elle : Maintenant, tu me connais Kliiyane. Répondit Sarah, étonnée.

Je ne pus m'empêcher d'éclater de rire en ajoutant les légumes dans la casserole.

Elle prit le petit garçon pour le poser par terre.

Il se dirigea vers sa chambre directement.

J'assoupis d'un air mécontent.

___Moi : Oh ! Non, il va réveiller Keyane, je ne suis pas encore prête pour les ennuis. Je me plains à la jeune femme.

___Sarah : Qui t'as dit d'avoir des enfants, heureusement que le mien est chez son père.

Elle m'articule et vient m'aider à cuisiner.

___Moi : Tu crois que si les pilules de lendemain étaient fiables à 100 %, ils n'existeraient ? Je t'ai sérieusement conseillé de ne pas prendre ses trucs. Ils m'ont bernés.

Je me suis justifiée dans un rire pâle.

___Sarah : Comment es-tu tombée enceinte malgré la pilule ?

Elle m'a demandé d'une voix confuse.

___Moi : Justement, tu sais que le monsieur qui est le père de mes enfants, donc je ne citerai pas son nom pour mon bien-être, m'a forcée à coucher avec lui. Une fois arrivée à la maison, j'ai pris la pilule du lendemain pour éviter de tomber enceinte. En souvenir de ce moment-là, j'ai eu Keyane et Kliiyane.

Elle a ri de mon expression faciale qui n'était pas du tout agréable, et m'a tapoté l'épaule.

___Sarah : Je peux comprendre qu'au début, tu n'aies pas voulu mais tu aies fini par céder, mon amie.

J'ai chassé les vieux souvenirs de cette scène qui m'a vraiment détruite.

Je ne me laisserais pas trop faire suite aux résultats, qui sont mes jumeaux, pour que je ne les déteste pas à cause de leur père. Je ne souhaite même pas un jour faire de mal à ses petits innocents qui ne sont pas victimes dans cette histoire, tout comme moi.

____Moi : Je n'avais pas d'autre choix que de lâcher prise. Tu penses pouvoir convaincre un homme comme lui lorsqu'il a une idée en tête, de toute façon pour lui, c'était le meilleur moyen à être égalité sans savoir pourquoi. Une chose est sûre, j'ai prise la meilleure décision, en fuyant tout le monde. Merci Sarah, car ton appel m'a sauvée ce jour-là et je suis heureuse loin de tas histoires et gens.

J'ai posé ma main sur la sienne pour le remercier sincèrement d'avoir toujours été là pour moi et mes enfants depuis des années.

Elle hoche la tête avec ce sourire chaleureux.

___Sarah : Tu es plus qu'une amie pour moi, Marwa. Je te considérais comme une vraie sœur, tu étais là quand j'avais le plus besoin de toi. C'est normal.

___Moi : Nous remercions le Tout-Puissant pour cette grâce envers nous. Il ne nous a jamais laissé tomber dans les moments difficiles de notre vie commune.

___Sarah : Notre Père adoré.

___Moi : Tout a fait ma belle.

___Sarah : Mettons la table, ma belle. Le passé est derrière nous. Nous devons avancer sans eux pour notre bien.

Elle m'a rassurée en ses mots.

___Moi : En effet, ma belle.

«08 h 10»

Je suis descendu du taxi devant l'école.

J'avais déjà 10 minutes de retard. Cependant j'ai eu du mal à trouver le bus à cette heure-là dans les rues de Moscou à cause des embouteillages, comme presque tous les matins.

Tout cela m'a mis beaucoup de pression alors que j'essayais soigneusement de respecter l'heure exacte que la directrice de l'école indiquait dans son règlement.

J'ai donné trois billets de roubles au chauffeur, qui m'a rendu mon argent. J'ai pris les garçons par le bras pour nous conduire à l'entrée, et une des maîtresses les a tenus dans ses bras pour les accompagner en classe.

Je tournai les talons pour rentrer chez moi.

Je me suis arrêtée à l'épicerie pour faire les courses qui se trouvaient sur mon chemin.

« POINT DE VUE DE L'AUTEUR »

«VILLA KRACHVENKO »

«08 h 30»

Tout le monde était autour de la table pour déjeuner en terrasse, une journée ensoleillée qui augure bien l'atmosphère et la vue aussi.

___Saina : Tu dois finir ton repas, Lelya.

Dit la jeune femme, agacée, à la petite fille qui refusait de manger ce matin pour aller à l'école, d'autant plus qu'elle est déjà retardée.

Dégoûtée, la jeune femme laisse tomber la petite cuillère dans le bol contenant la pâte.

Miriam et Meredith observèrent l'impatience de la jeune femme ainsi que sa mauvaise mine depuis son réveil.

Meredith vint chercher la petite fille qui pleurait fort à cause des cris de Saina.

Elle le fit s'asseoir sur ses genoux et la bercer.

____Meredith : Calme-toi, ma puce.

____Saina : Je dois appeler la maîtresse pour justifier son absence. Articula-elle.

___Miriam : Il faut être patiente avec la petite Saina. C'est un enfant.

___Meredith : Dis-moi, où est mon petit-fils ?

___Miriam : Dimitri, tu n'as pas dormi ici ?

___Saina : Non depuis plusieurs jours.

Meredith et Miriam se regardèrent, surprises.

La jeune femme se mit à pleurer d'un seul coup, à cause de la crise que traversait son mariage, tellement elle était blessée et épuisée émotionnellement et physiquement depuis qu'elle commençait à douter de l'infidélité de son mari.

Ce dernier n'a cessé de l'humilier et de le mépriser jour après jour, si bien que tout son espoir est perdu dans ce tourbillon d'incompréhension et de souffrance.

___Saina : Il me trompe belle-mère.

___Miriam : A-t-il une maîtresse ? Que dis-tu ma chérie ?

___Meredith : Il faut qu'on lui parle.

___Miriam : On n'a pas d'autre choix.

___Saina : Je ne veux pas perdre mon mari.

___Miriam : Tu ne vas pas le perdre.

___Meredith : Nous sommes Krachvenko.

___Miriam : Fais-nous confiance.

Les deux femmes consolent la jeune femme qui se plaignait de la cruauté de son mari qui l'a blessée et maltraitée récemment.

«10 h 10»

Je me dirige vers la cuisine pour déballer les sacs de provisions, en ramenant chacun à son emplacement. J'allais et venais à la cuisine pour commencer à tout préparer pour les enfants avant d'aller au travail cet après-midi comme routine.

En milieu de matinée, je suis allée à la buanderie pour faire la lessive pendant que Sarah nettoyait l'appartement.

«POINT DE VUE DE SAINA»

"AU CHÂTEAU KRACHVENKO"

La matinée s'est merveilleusement bien passée.

Je me sens si bien apaisée par les paroles réconfortantes de ma belle-mère et de ma grand-mère. Depuis que je me suis mariée, c'est moi qui dirige tout le château, en tant que maîtresse et l'unique belle-fille aussi.

J'ai donné le plat du jour à la gouvernante.

Tout le monde est déjà au travail pour que tout soit prêt à l'heure, surtout pour le retour de Meredith qui est allée se promener avec ma fille au parc, vu qu'elle n'était pas allée à l'école aujourd'hui à cause de ses caprices.

J'ai franchi le seuil de la porte de ma chambre. À ma grande surprise, j'ai vu Dimitri. Une foule de questions me trottent dans la tête. " DEPUIS QUAND IL EST LÀ ?"

Il s'est brossé les cheveux, en tenant devant le miroir après s'être habillé. J'ai rapidement remarqué les changements des habits.

Il m'a ignorée et a continué à faire ce qu'il faisait sans soucier de ma présence.

Je m'approche de lui doucement.

___Moi : Bonjour mon amour.

___Dimitri : Bonjour.

___Moi : Bébé, est-ce qu'on peut parler ?

___Dimitri : De quoi t'es-tu plaint cette fois ?

Il me fit face rapidement.

___Moi : Non, je voulais que tu manges avec nous à 13 h parce que ta mère et notre grand-mère se plaignaient de ton absence.

Réponds-je avec une telle douceur

___Dimitri : Je manque de temps, ma secrétaire va commander mon dîner.

Articula-il en prenant la direction de la sortie.

___Moi : Je peux préparer un bon plat tout de suite, Dimitri. Je suis ta femme, s'il te plaît.

J'ai répondu rapidement avant qu'il quitte la chambre presque en larmes.

____Dimitri : Je veux avoir la paix. Est-ce trop demander à Saina ? Tu m'emmerdes.

Sur ces mots, il quitta la pièce, laissant la jeune femme en larmes. Son mariage est un désastre, elle ne peut pas parler à son père, sinon son mari lui en voudra comme avant.

Elle ne voyait aucun espoir pour eux.

«POINT DE VUE DE L'AUTEUR»

Nicholas arriva au château. Il coupa le moteur de la Porsche et claqua la porte dès qu'il sortit de l'extérieur. Il emprunta le chemin, menant à l'entrée principale.

Les employés saluèrent leur patron venu passer une journée harmonieuse au château avec les membres de sa famille.

En descendant les escaliers, Dimitri et son père se croisent. Il est surpris de le voir.

___Dimitri : Bonsoir, Général Krachvenko.

___Nicholas : Bonsoir Dimitri.

___Dimitri : Quel visite papa ?

___Nicholas : Dimitri, comment s'est passé ton stage ? Ici, c'est chez moi alors je viens quand j'en ai envie.

___Dimitri : Du calme, papa, nous ne sommes pas pressés. Il ne reste que quelques mois avant la conclusion de cette affaire.

___Nicholas : Je souhaite de tout cœur à Dimitri que tu réussissais ce projet.

___Dimitri : ton offre est-elle toujours valable ?

___Nicholas : Évidemment.

___Dimitri : Merci pour ton soutien, Père.

___Nicholas : Ce sera mon cadeau.

____Dimitri : Merci, Père.

Il passa devant le jeune homme, poursuivant sa route tout en se grattant la barbe, un sourire fier au coin des lèvres de lui.

«POINT DE VUE DE NICHOLAS»

J'ai déboutonné le col de ma chemise pour retirer le foulard noué autour de mon cou, après être entrée dans l'ancienne chambre de Marwa, fermée à clé depuis son départ.

J'ai interdit à quiconque d'y mettre les pieds.

Je me suis dirigée vers la commode.

J'ai ouvert le coffret à bijoux qui s'y trouvait.

J'ai vu les alliances de Marwa que je gardais en souvenir de notre cérémonie de mariage.

Je les a regardées avant de les ranger et ensuite ses autres bijoux qu'elle portait.

Je me suis dirigée vers le dressing où tous ses vêtements sont rangés à leur place, sans bouger. J'ai sorti cette robe dans le rayon qui sentait encore son parfum, humant son odeur.

J'ai passé mes mains dans chaque vêtement qui me rappelait constamment ses souvenirs de chaque instant passé dans cette pièce.

Je suis venu m'asseoir sur le lit.

J'ai disposé les oreillers avant de m'allonger.

J'ai fixé le plafond sans cligner des yeux.

Mon cerveau est plongé dans des souvenirs fascinants qui m'ont beaucoup manqué. Il ne me reste que ça de notre mariage, malheureusement.

«FLASH-BACK»

Marwa franchit la porte de ma chambre.

J'étais au téléphone, elle le tira de mon oreille pour raccrocher au nez de mon interlocuteur.

___ Moi : De quel droit as-tu Marwa ?

Je demandais d'un ton agacé.

___ Elle : Parce que je suis ta femme.

Elle répondit en haussant la voix.

___ Moi : Je veux que tu sortes d'ici.

Son regard imposait sur elle de sa demande.

___ Elle : Je ne vais nulle part, Nick.

Elle m'ajouta dans un sourire radieux.

Elle a commencé à déboutonner ma chemise, mais je lui ai tenu les mains pour l'arrêter. Elle ne cessait de me sourire affectueusement, ce qui m'agaçait beaucoup.

___ Moi : Je m'en fiche, chère épouse.

___ Elle : D'accord.

___ Moi : Donne-moi mon téléphone.

___Elle : Non.

___Moi : Marwa, donne-moi mon téléphone.

Elle m'a tendu le téléphone. Chaque fois que j'essaie de le prendre, elle le retire, ce qui me fait perdre mon sang-froid.

Je l'ai poussée brusquement pour lui arracher le téléphone des mains, tellement elle m'a mis en colère. Elle est tombée brutalement au sol dès que je me suis retourné pour partir.

Elle a fondu en larmes.

___Elle : Tu m'as fait du mal, Nick.

Ajoute-t-elle en examinant son coude.

Je me suis arrêtée un pas vitement.

Je me suis retournée pour le voir par terre.

___Moi : Tu as frappé Marwa ?

___Elle : Oui.

___Moi : Ne pleure plus Mme Krachvenko.

Elle m'a fait un signe positif avec la tête quand je lui ai demandé. Je me suis accroupie pour vérifier son bras, s'assurant que tout irait bien, s'il n'avait pas une petite égratignure. Par la suite, je lui ai déposé un baiser sur le front et lui ai adressé un joli sourire.

___Elle : Ça ira, mon Nick.

Nous nous levons simultanément parterre.

___Moi : suis-moi.

Avant que je n'objecte catégoriquement, elle m'a emmenée à la salle de bain. À notre arrivée, elle a pris une chaise, m'a fait asseoir devant la baignoire, puis est venue s'asseoir sur moi. Elle a attrapé le mitigeur pour me laver les cheveux. J'ai redressé sur ma chaise, en remontant sa mini-jupe pour la rendre plus confortable, tandis que l'eau continuait de couler dans mes cheveux.

Elle a mis du shampoing dans ses main, puis les ont appliqués dans mes cheveux.

Elle a déposé un baiser sur mes lèvres.

J'ai continué à l'observer en cachette.

Elle a rincé mes cheveux et a pris une serviette près d'elle pour les sécher.

Elle allait se lever, mais je l'ai rassis tandis que je défaisais la dentelle de son chemisier, mordant ses seins pointus qui me donnaient l'eau à la bouche. Elle rit et gémit sans me faire perdre ma concentration.

___Moi : Merci, Madame Krachvenko.

J'articule d'une voix douce.

___Elle : C'est mon devoir, Monsieur Krachvenko. Je sais une chose : même si tu dis que tu ne peux pas m'aimer, mais tu ne pourrais jamais m'oublier.

Elle a répondu d'une voix douce.

___ Moi : Et tu ne peux pas me quitter, car je te poursuivrai comme un loup affamé.

Je l'ai corrigé d'un ton amusé.

___Elle : Si Nick, ce serait trop tard pour nous deux. Si je pars, je ne reviendrai jamais vers toi. Tu n'as jamais entendu mon amour.

___Moi : Tu mens Marwa.

___Elle : Ne me sous-estime pas Nick.

Je me suis relevé avec lui pour qu'on puisse retourner dans la chambre. Elle a ri jusqu'aux oreilles quand je l'ai laissée tomber avec moi dans les draps.

J'ai commencé à le chatouiller partout sur son corps, son éclat de rire a illuminé tout l'étage. Je pose ma main sur sa bouche pour étouffer cette voix, nous rions dans cette complicité passionnée et sainement.

Elle me dévore d'un regard de désir.

J'attrape les lèvres de la jeune femme, en le déshabillant dans une impatience pour avoir ce que je désire plus que tout à l'instant.

Elle m'a enlevé mon pull et m'a embrassé.

J'étais au milieu de ses cuisses qui tremblaient déjà sous mes caresses fiévreuses et abondantes alors ce que le commencement du commencement.

Je suis séparé de ses lèvres, en le fixant.

____Moi : La porte doit être verrouillée.

____Marwa : Est-ce nécessaire ?

____Moi : Maman peut tomber sur nous en plein d’ébats.

____Marwa : Et ensuite ?

____Moi : J’ai des principes jeune femme.

____Marwa : Nous sommes mariés Nicholas. Est-ce la seule raison pour laquelle tu n’as fait l’amour que dans une chambre ? On peut essayer dans la voiture, dans la cuisine ou ailleurs. Ce serait différent et amusant bébé.

____Moi : As-tu trouvé cette idée ?

____Marwa : Ne te fâche pas.

____Moi : Réponds-moi Marwa.

Il a fixé la jeune femme dans un regard attachant et dominateur. Elle baissa la tête.

___Moi : Un autre homme a-t-il touché ?

____Marwa : Pas du tout mon amour.

____Moi : N’étais-je pas procureur soant du plaisir ? Je ne suis pas si vieux que ça.

____Marwa : Je suis bien avec toi.

____Moi : T'ai-je satisfait à chaque fois ?

____Marwa : Tu es irréprochable bébé.

Elle se penche pour l'embrasser sur la joue afin de le rassurer. Nicholas caresse le visage angélique et innocent de sa femme, ce qui le fait légèrement sourire.

___Moi : Il faut être vigilant, ma chérie.

___Marwa : Comme tu veux bébé.

____Moi : J'arrive.

La jeune femme braquait sa fixation sur son mari qui s'apprêtait à rejoindre la porte.

Il la verrouilla précipitamment.

Il revient dans le lit.

La jeune femme était déjà allongée en sous-vêtements. Son cœur battait fort lorsque son mari écarta les jambes dès qu'il s'approcha pour grimper sur elle. Il posa son front sur le sien, le souffle coupé, elle avala sa salive, attendant son baiser sensuellement.

Il lui arracha un baiser fusionnel, elle ferma les yeux pour mieux savourer leur baiser. Ses doigts allèrent et venaient sur la colonne vertébrale de son mari, elle laissa échapper un assoupissement lorsque sa bouche commença à remonter son cou, puis atterrit sur ses seins dès que son mari se débarrassa de son soutien-gorge pour l'avoir à sa guise.

___Marwa : Je t'aime mon amour.

Elle déclara de cette voix attendrie et tremblante sous la chaleur écrasante du corps de son mari. Elle le serra dans ses bras pour qu'il se détache du sien si impuissant sous sa domination et obéissant.

____Nicholas : Je ne veux que toi !

Lui murmura-t-il de ce ton ferme qui fit frissonner encore plus la jeune femme. Ils se regardèrent et sourirent avant de s'embrasser.

«FIN DU FLASH-BACK»

J'ai été sursauté par le bruit de la porte qui claquait dans mon sommeil.

Une minute sans cligner des paupières pour retrouver mon état d'esprit.

Je me suis assis quand j'ai vu Miriam.

___Miriam : La gouvernante m'a part de ta présence, Nick. M-a-t-elle a dit.

Elle portait ce plateau dans ses mains que j'ai vite remarqué au premier coup.

J'ai posé ma main sur mon cou pour faire craquer les os de ma mauvaise posture constante qui me donnait une crampe.

Elle me paralysait tout le corps.

___Miriam : Je t'ai apporté un verre de jus.

Ajoutez la dame qui s'est approchée de moi.

Elle m'a tendue le verre.

J'ai poussé cette main de l'autre côté si fort que le verre s'est plié et s'est écrasé au sol.

Elle m'a visualisée avec un air effrayé.

Miriam était perpétrée par mon attitude.

___Miriam : Nick ?

___Moi : Qui t'a autorisé à venir ici ? Pourquoi es-tu là ? Tu n'as aucun intérêt à être ici. Hors de ma vue.

Grognonais-je sur la dame.

___Miriam : Pourquoi tu ne veux pas que quelqu'un entre dans l'ancienne chambre de Marwa ? Et pourquoi toutes ses affaires sont toujours là malgré ses années ? Nicholas, que se passe-t-il ? Parle-moi, s'il te plaît.

___Moi : Ce n'est pas tes oignons Miriam.

Je me suis rapidement glissé dehors du lit.

Il saisit brutalement par les bras et le traînait jusqu'à la porte. Ses yeux sursautèrent lorsque la porte heurta son nez avec un grincement de dents par la réaction de Nicholas.


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Chapitre 12

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À propos de l'auteur(e)

Randy
Randy is a Blogger, Webmaster and he's interested to science computing.
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