Amoureuse du Père de ma Meilleure Amie - Tome II - Chapitre 16

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TOME II

CHAPITRE 16

"UN SUBLIME MENSONGE"

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"POINT DE VUE DE MARWA"

Mon ex-mari a été sidéré par ma réponse selon laquelle il ne pensait pas avoir donné à la famille Minorova.

___Nicholas : tu le penses vraiment.

Dit mon ex-mari.

___Moi : En effet, Monsieur Krachvenko.

Je répondis d'une voix douce.

La voix de la mère d'Olivier capte notre attention lorsqu'elle arrive avec le gâteau.

___Elle : Joyeux anniversaire, mon fils.

___Olivier : Excusez-nous, M. Krachvenko.

Ajouta le jeune homme en me prenant la main pour rejoindre sa mère et les autres membres de la famille.

Il coupa le gâteau avant d'en partager un morceau avec sa mère, en second plan, moi.

Je sentis le regard lourd de Nicholas sur moi.

Je ne pris pas la peine de le fixer correctement, car il méritait pleinement mon mépris.

Je me concentrai sur la fête pour en profiter au maximum, car c'était un fantôme à mes yeux.

Olivier et moi nous sommes échappés de la fête au moment crucial que tout le monde attendait pour éviter que Nicholas me poursuive pour m'intimider.

"00 H 20"

Arrivée chez moi, je me rendis directement dans ma chambre de mes bébés. Ils dormaient paisiblement dans les bras de Sarah, je prenais plaisir à les observer.

Ensuite, je vais me changer et me démaquiller. J'étais une fille qui adorait ce genre de choses par le passé. Ma vie m'a appris tellement de choses que je ne pensais pas vivre un jour, surtout en tant que mère célibataire. Je sais que ce n'est pas facile pour une femme d'élever un ou deux enfants.

Je jongle des petits boulots pour gagner plus d'argent et donner le meilleur à mes enfants, mais j'adore ce changement dans ma vie, car le Seigneur Jésus-Christ est toujours avec moi malgré mes défauts.

J'ai enfilé mon pyjama, attaché mes cheveux.

Puis, j'ai pris le savon pour me laver le visage en ouvrant le robinet pour le rincer.

J'ai pris une serviette pour le sécher.

Je suis sortie chercher Keyane et Kliiyane pour les mettre dans leurs berceaux.

J'ai éteint la lumière et il est temps d'affronter cette réalité une bonne fois pour toutes.

Je suis allongée sur le lit.

Je ne suis pas surpris de le voir, c'est quelque chose que je m'attendais à chaque fois. C'est normal car nous vivons dans la même ville.

Je pense que je dois tout faire pour obtenir des visas avec mes enfants afin d'entrer aux États-Unis au plus vite. Je ne veux absolument pas qu'il découvre leur existence.

Cela m'inquiète, je ne veux pas être séparé de mes enfants. Si je peux confirmer quelque chose, il serait prêt à me poursuivre en justice pour la garde des enfants afin de satisfaire son égo d'homme. J'ai poussé un cri désespéré en passant ma main sous mon visage triste.

Je me suis levée pour faire les cent pas.

J'ai mis ma main sur ma nuque, mon cœur battait si fort. Je vais perdre le procès sans aucun doute, car c'est un homme puissant ici à Moscou, malgré les enfants portent le nom de ma famille maternelle.

Je suis sûr qu'il les utilisera pour m'atteindre.

Je me suis finalement laissée tomber dans le lit, au bord du gouffre, les mains sur la tête.

Je réalisais alors que je n'aurais jamais dépassé mes limites. Cela faisait six ans que je le désirais autant, malgré le fait qu'il était le père de mon amie et sa vengeance en plus.

Je pense que ce sont les conséquences de mes actes du passé. Je trouvais cela anormal à l'époque : tant d'hommes me désiraient, mais je ne voulais que lui.

Ce qui m'a fait rire ironiquement.

Les gens pensent que l'âge apporte la maturité et que nous sommes en sécurité dans notre couple avec un homme mûr, sans savoir qu'il existe vraiment des hommes comme mon ex-mari sur cette planète.

Je me suis retrouvée dans l'obligation de protéger mes enfants encore plus de lui.

«POINT DE VUE DE NICHOLAS»

"01 h 30"

Je suis arrivée dans mon appartement dans un état déplorable, confuse de le voir avec un autre homme des années plus tard.

Je me suis dirigée avec une telle rage vers le bar pour prendre une bouteille de vodka, mieux assimiler cette nouvelle qui m'horrifiait alors que je me sentais si impuissant face à toutes leurs scènes romantiques.

Mon crâne me faisait un mal de chien.

Ces événements me glaçaient le sang.

J'ai dû boire la bouteille entière.

La chaleur m'étouffait, j'ai poussé la porte vitrée pour me rendre sur le balcon.

Je respire, respire, respire ce désespoir.

Je continuais à boire de l'autre sans contrôle.

Je retournai à l'intérieur, me souvenant de chacune de ses paroles inattendues et blessantes à mon sujer à cet homme.

Non, c'est notre première rencontre » cette phrase résonne sans cesse dans mon cerveau comme une répétition.

Je déboutonne ma chemise pour mieux respirer.

Je continuais à boire lorsque toutes ces images défilent dans ma tête. Elle se comportait comme une vraie petasse avec ce jeune homme, il la touchait partout sans se fixer de limites, elle lui adressait le plus beau des sourires sans se soucier de ma présence.

J'ai sorti mon téléphone qui sonnait de ma veste.

Je le porte à l'oreille dans l'espoir absolu que cet appel téléphonique qui pourrait changer les données.

____M. Krachvenko, je n'ai pas trouvé où elle habitait ? dit la voix masculine au bout du fil.

____Moi : Tu te moque de moi parce qu'elle ne vit pas dans l'espace, mais plutôt, ici à Moscou. Alors je veux que tu me trouves cette foutue adresse.

Je hurlais dessus frénétiquement.

___Je ferai tout pour mon possible.

Répondit l'homme d'une voix tremblante.

J'ai jeté mon téléphone sur le canapé en allant chercher une autre bouteille dans le minibar au fond de la pièce après avoir réalisé que la bouteille de vodka était vide.

En arrivant, cette image quand ce jeune homme l'embrassait langoureusement avec sa langue, le pire, tout ce que j'ai trouvé sous ma main, je les ai jetés par terre au bord d'une frustration accablante. Ils sont brisés en plusieurs morceaux pour n'en faire qu'un.

Je respire pour me reprendre.

J'ai regardé le désordre que j'ai commis fait dans cette pièce pour déverser ma colère.

Pourquoi il fallait que j'épouse une gamine qui n'a rien au cerveau juste flirter d'homme en hommes. Elle n'a pas pris la peine de me regarder ou me parler, encore moins avoir mes nouvelles.

«POINT DE VUE DE MARWA»

"UNE SEMAINE PLUS TARD"

Aujourd'hui, c'est dimanche, vers 14 h. Olivier nous a emmenés faire une belle promenade au bord de la mer. J'avais vraiment besoin de décompresser du stress quotidien.

Nous marchons pieds nus sur le sable, sandales à la main. Sarah court et les enfants la suivent en hurlant de joie.

Le jeune homme m'a poussé dans la mer.

Mon regard s'est déplacé vers lui pour le pousser à mon tour, il m'a attirée sur lui, et m'a retournée dans tous les sens. Je n'ai pas arrêté de rire avant qu'il ne me remet par terre.

Il arrangea mes cheveux que le vent emportait. Je les ai fixés derrière mon oreille pour lui offrir mon beau sourire.

___olivier : Merci Marwa de m'avoir aidé.

Il m'a dit d'un ton chaleureux.

___Moi : Tu devrais arrêter de mentir à ta famille, car ce n'est pas bien. Je me sens coupable et s'ils découvrent que je ne suis pas la femme qu'ils prétendent être, ils me verront comme une imposture.

Je réponds dans une voix inquiétante.

___Olivier : Détends-toi Marwa, tu es une femme merveilleuse. Merci, ma belle.

Il prit ses deux mains pour les embrasser.

___Moi : Quand pars-tu ?

Lui demandais-je d’un coup.

___Olivier : Dans deux jours, car mes vacances se sont terminées sans même que je les aie commencées.

___Moi : Je veux t’annoncer que je vais bientôt vivre à Caroline du Nord avec mes enfants.

Ai-je annoncé au jeune homme.

___Olivier : Tu vas vivre aux États-Unis ? Mais pourquoi cette décision est-elle si soudaine ?

Il me rétorqua d’une voix paniquée.

___Moi : Je t'expliquerai tout, une fois s'installer là-bas. Je ne suis pas encore parti à cause du visa que je n’ai pas encore obtenu.

___Olivier : Dois-je utiliser la notoriété de ma famille pour toi, ma belle ?

Il me demande dans ce sourire.

___Moi : Je n’aime pas ce genre de faveur. Je veux résoudre mes problèmes en tant que femme forte. Je les obtiendrai Olivier.

___olivier : Tu es une femme forte, Marwa.

Il m’a prise par les deux épaules et m’a secouée fort, ce qui m’a fait rire encore plus.

___Moi : Merci Olivier, ta gentillesse est hors norme. Ne change pour rien au monde.

Nous avions échangé un sourire complice.

Il m’a ouvert ses deux bras, sans hésiter je me suis laissée emporter par ce désir qui me consumait lentement et il m'a resserré.

Je me sens tellement en sécurité dans ses bras. Je ferme les yeux pour mieux profiter de sa présence car très bientôt il partira même si notre amitié ne s’arrêtera pas là.

J’ai une immense admiration pour ce jeune homme, il est si gentil et admirable.

Il a déposé un baiser dans mes cheveux et a articulé doucement en riant.

___Olivier : Heureusement que tu es divorcée, sinon ton ex-mari serait jaloux de notre amitié.

Il m'a fait rire de ce commentaire.

En fait, Nicholas ne s'est jamais soucié de moi au point d'être jaloux. Il voulait juste que je reste sous son emprise pour me dominer, comme ça, je serais toujours sa proie parce qu'il voyait que je l'aimais plus que moi.

Je ne pouvais pas partir à cause de ma dépendance affective. Il m'a clairement avoué qu'il savait que j'avais un petit ami à l'époque, mais qu'il voulait jouer avec moi.

Alors il est juste allé au bout de ses plans.

Il m'a toujours traitée comme une femme facile malgré la vérité était là sous ses yeux.

Il m'humiliait toujours quand il voulait sans penser à ce que je ressentirais. Je n'oublierai jamais quand il m'a dit que je n'étais personne devant cette jeune femme à l'hôtel.

Je ne suis pas le genre de femme à retourner là où ils m'ont piétinés et blessés. Je ne pardonnerai pas à Olivia et Alex de m'avoir tendu ce piège aussi, encore une personne, qui est Dimitri Salim.

Il s'écarta et lui caressa doucement le visage.

Il hocha la tête.

___Moi : Je t'invite à manger une pizza, c'est moi qui paie.

Ai-je répété jubilatoirement devant lui.

___Olivier : Marwa, je ne veux pas que tu épuises tes économies, en gentleman, c'est moi qui dois payer.

Ajouta-t-il.

____Moi : Je refuse catégoriquement. On ne mangera pas toute la pizzeria pour que mes économies soient finies dans une seule journée.

___Olivier : D'accord, Mademoiselle Orl.

«POINT DE VUE DE L'AUTEUR»

Il était environ 20 h 00 lorsqu'Olivier se rendait chez ses parents pour un dîner de famille, comme à leur habitude.

Et c'est devenu une habitude pour eux.

Alors qu'il garait la voiture dans la cour.

son téléphone s'est mis à vibrer dans son sac à dos. Il est sorti du véhicule et a ouvert la portière arrière, en le sortant.

Il a vu plusieurs appels manqués de son père.

Il a fermé la porte lentement.

Il est entré dans la maison.

En arrivant au salon, il fut étonné de voir un groupe de personnes, notamment une équipe de soldats et de policiers qui réalisent une sorte de fusion entre eux deux entités des forces de l'ordre russe.

Tous les regards se sont tournés vers lui.

Sa mère vient le serrer fort en larmes.

____Olivier : Bonsoir ! Dit-il.

____Elle : Laisse mon fils tranquille.

____Olivier : Du calme, maman.

____Elle : Je refuse.

____Olivier : Que passe-t-il ?

Il a vu ses parents d'un air intrigué.

___Lui : Fiston, pourquoi ne nous as-tu pas dit que tu avais eu des problèmes avec les forces russes ?

Ajout à la réprimande.

___Olivier : Moi ?

Des problèmes avec les forces russes ?

C’est quoi cette histoire ?

Réponse-t-il d’une voix perdue.

___Oui, tu es en état d’arrestation. Tu dois garder le silence jusqu’à ton interrogatoire.

Dit Nicholas qui apparaît dans la pièce avec l’inspecteur à ses côtés. Il est surpris par la performance magistrale de cet homme qui le fixe constamment du regard.

Deux pas et trois mouvements, il lui fait face directement, il avait d’un sourire qui ne sort pas de son visage ridé.

Nicholas fait un signe à l’inspecteur, aussitôt il met les menottes aux poignets du jeune homme à sa demande.

Il la regarde avec confusion.

Le jeune homme est atténué par cette arrestation car il n’a jamais eu de problèmes avec la police russe et encore moins avec les forces de militaire à ce jour. Il n'est même pas stable dans le pays à cause de son travail.

Les cris de sa mère qui pleure dans les bras de son père le culpabilisent malgré son innocence à cette fausse accusation. Ses belles-sœurs ont emmené la vieille dame dans la pièce pendant que ses frères négocient la situation avec leurs avocats.

___Nicholas : Quand on touche à ce qu'il ne fallait pas, on finit toujours par avoir des problèmes, Monsieur Mironova.

Dites-le au jeune homme qui pinça les lèvres.

Il garda le silence à ses piques.

Il sourit ouvertement à son autorité.

___Lui : Je vous apprécie, Général Krachvenko, je sais que vous êtes un homme intègre et que vous parviendrez à résoudre cette affaire, surtout pour notre réputation.

Il tourna la tête pour le rassurer.

___Nicholas : Ne vous inquiétez pas, Lieutenant Mironova. Les enquêtes sont menées conjointement par la police et les forces du Kremlin, c'est pourquoi je me déplace personnellement pour vous faire part du problème. Je vous garantis que rien ne sortira de cette pièce.

___Lui : Merci, général Krachvenko.

____Nicholas : Vous comprenez, messieurs.

Il a pointé du doigt ses hommes et les hommes de l'inspecteur qui lui accompagnaient pour cette arrestation.

Ils ont répondu : oui, général Krachvenko.

___Nicholas : Je dois vous laisser, lieutenant Mironova.

Ils ont escorté le jeune homme jusqu’à leurs voitures. Avant qu’il n’entre dedans, Nicholas les a arrêtés pour qu’ils puissent fouiller complètement, en faisant un signe de la tête.

Un de ses hommes lui a apporté le téléphone du jeune homme comme il le leur avait ordonné au début, mais il avait un mode dépassé.

____Nicholas : Je veux que tu saisis ton mot de passe.

Il exige d’un air autoritaire.

Le jeune homme montra une expression ironique à Nicolas qui se moqua de lui.

___Olivier : Attendez, général Krachvenko, vous m’aviez arrêté sans savoir pourquoi ? Maintenant, vous voulez accéder à mon téléphone. Pourquoi faites-vous tout de travers ? Quel est votre problème ?

Le jeune homme exprima son attitude déplacée avec un air d'incompréhension.

___Nicholas : Pourquoi n'as-tu pas obéi au lieu de compliquer la situation ?

Il est agacé par ses réponses.

L'inspecteur intervint pour calmer la tension croissante entre eux, car Nicholas voulait l'affronter une bonne fois pour toutes.

____Nicholas : Je dois accéder à ton téléphone, sinon tu vas pourrir en taule même ton papa ne pourra pas t'en sortir.

___Lui : Il vaut que tu collabores, Monsieur Mironova. Évites des soucis à tes parents.

___Olivier : 13 octobre 2022. Lança-t-il.

Il fixa le jeune homme avec curiosité.

___Nicholas : Quelle coïncidence !

___Olivia : De quoi parlez-vous ?

___Nicholas : Emmenez-le au commissariat.

___Lui : Allons-y, tout le monde.

L'inspecteur ordonna à tout le monde de quitter les lieux à la demande de Nicholas. Ils transportèrent le jeune homme dans la camionnette en direction du commissariat.

Nicholas était intrigué par cette date.

" C'est le jour de sa séparation avec Marwa "

Nicholas monta dans la voiture après que le chauffeur lui eut ouvert la portière pour fouiller calmement le téléphone du jeune homme. D'abord, il est tombé sur une photo de Marwa et lui au restaurant, qui figurait sur l'écran, il est devenu très jaloux instantanément de leur complicité.

Surtout, le sourire éclatant de son ex-femme.

«POINT DE VUE DE MARWA»

"L'APPARTEMENT, 21 H 30"

J'ai été réveillé en sursaut par la sonnerie de mon téléphone branché à la prise, alors il était sur la petite table de chevet.

J'ai jetée un coup d'œil à l'écran.

" c'était un appel d'Olivier."

Je me suis passé la main au visage pour y voir plus clair en m'asseyant dans le lit.

___Moi : Tu n'arrives sûrement pas à dormir parce que tu n'arrêtes pas de penser à moi ?

Ajoutais-je d'un ton farouche comme toujours.

___Lui : Ce n'est pas ton amant, mais ton mari, Marwa Grayson Krachvenko.

Il a rétorqué d'une voix douce.

J'ai entendue la voix de mon ex-mari au bout du fil.

Je suis perdue dans mes pensées.

J'ai retirée le téléphone de mon oreille pour voir si c'était bien le numéro d'Olivier.

"MAIS QUE FAISAIS SON TÉLÉPHONE DANS SES MAINS ? " C'EST NICHOLAS AU BOUT DU FIL ? C'EST QUOI SON PROBLÈME ?

Cette voix m'est sortie à l'esprit.

___Lui : Marwa, si tu veux vraiment qu'Olivier Minorova soit libéré. Je t'attends tout de suite chez moi pour discuter comme deux adultes.

Il marmonna d'un ton ferme.

Je reste perplexe face à ce tourbillon de menaces. Avant de répondre à la question concernant la libération d'Olivier.

Soudain, il raccrocha.

Sans tarder, j'ai reçu un message de lui.

J'ai vu qu'il m'avait envoyé une adresse différente de celle du château de Krachvenko.

J'ai été stupéfaite lorsqu'il m'a envoyé les photos d'Olivier derrière les barreaux, une seconde plus tard avec un texte écrit en dessous :

« Tu sais où trouver Madame Krachvenko. »

Non, je suis sans voix. J'ai regardée une seconde fois les photos d'Olivier, j'ai éteinte mon téléphone dans un empressement.

Je me suis penchée pour ouvrir le tiroir de la table de chevet à côté et l'ai déposé sous une pression énorme.

___Moi : Tu peux toujours rêver, cher Nicholas Krachvenko, ajouta une voix déterminée.

Je suis retournée me coucher.

J'ai tiré la couverture après avoir placé les oreillers sous ma tête pour être confortable.

Sans tarder, le sommeil m'a emporté.

"22 H 30"

À la fin de cet appel, je me suis précipité pour prendre une bonne douche pour préparer la venue de ma délicieuse femme.

Une fois terminée, j'ai enfilé un polo bleu turquoise et un jogging. J'ai préparé ma chambre, je l'ai parfumée pour qu'elle soit à son goût, et j'ai fini de changer les draps et les oreillers pour que tout soit parfait.

Une musique sensuelle jouait pendant le playback du morceau. J'ai posé la bouteille de champagne et les deux verres que j'avais entre les mains sur le lit. Tout était là, il ne manquait que Marwa pour une nuit de réconciliation à la manière de Nicholas.


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Chapitre 17

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