Amoureuse du Père de ma Meilleure Amie - Tome II - Chapitre 14

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TOME II

CHAPITRE 1️4

  

LE TEMPS À SES PROPRES RAISONS.

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«POINT DE VUE DE L'AUTEUR»

"DEUX MOIS APRÈS"

«BORDEAUX : FRANCE»

"08 H 10"

La jeune femme est sortie du lit.

Elle errait dans la chambre qu'elle occupait depuis deux mois dans la maison familiale des ORL, celle de sa défunte mère.

Elle y vivait avant son mariage avec son père.

Ces vacances lui ont permis de se remémorer de vieux souvenirs fascinants et de réaliser chaque jour de nouveaux tours avec les enfants et son grand-père.

Elle bâille et étire les deux bras pour faire craquer son cou, qui obéit simultanément à ses os. Elle a rassemblé ses cheveux en queue de cheval et est allée sur le balcon.

J'ai vu les garçons nager dans la piscine avec leur grand-père et sa femme. Je suis allée enfiler un maillot de bain deux pièces pour les retrouver dans cette matinée agréable et harmonieuse qui s'est déjà installée en plein jour.

" 18 H 10 "

Marwa courait au bord de la mer, dans ce rire qui offrait un autre jour au monde. Cette joie de vivre et ce contentement qu'elle éprouvait pendant ces moments avec ses enfants.

Les petits garçons se mirent à courir derrière lui. Ils riaient autant que la jeune femme pour le rattraper dans une course-poursuite.

____Keyane : Maman...

____Kliiyane : Maman...

____Marwa : Viens me rattraper.

Les deux petits garçons vinrent lui serrer les pieds fermement au moment où elle s'arrêtait pour pouvoir la rattraper. Ils jubilaient de contentement, ils commencèrent à tourner autour de la jeune femme qui tournoyait et retournoyait sur elle-même dans la même atmosphère qu'eux. Ils se jubilaient.

Elle tomba dans le sable et ses enfants vinrent s'allonger près d'elle. Le vent, si doux traversait d'un endroit à l'autre, il parcourait le corps fragile de la jeune mère. Le seul bruit qu'elle entendait était les battements de son cœur, qui battait si vite que ses cils fixés à l'horizon sans bouger pendant plusieurs secondes voulaient la replonger dans le passé qu'elle voulait oublier à tout prix.

C'était une bataille quotidienne entre son cerveau et son cœur dans sa vie.

Elle se sent impuissante à cette situation.

Les minutes passent, la nuit prend sa place comme tous les autres jours. Elle ravala la couche de salive et se força à garder son sourire en présence des enfants.

Ils regardèrent dans une seule direction.

____Keyane : Maman, c'est quoi ça ?

____Marwa : L'étoile mon amour.

____Kliiyane : Le ciel beau.

____Marwa : Tout est fait, mon chéri.

____Keyane : Maman, pourquoi les étoiles sont-elles si petites ? Elles sont très présentes dans le ciel. Il est si sombre.

____Kliiyane : sommes plus grands qu'eux. Elles sont partout, c'est bizarre.

____Marwa : Pas du tout. Elle rit.

Kliiyane : C'est vrai, maman.

____Keyane : Hallucinant !

____Marwa : Le ciel est magnifique, comme vous deux.

Ils pointèrent leurs petits doigts à la jeune femme pour montrer les étoiles. Elle leur montra et leur expliqua chaque petit détail.

Elle tourna la tête pour admirer ses jumeaux qui riaient de plaisir à la suite de cette déclaration d'amour. Elle devint soudain très triste à cette condition très difficile pour s'occuper de les enfants à leur au Moscou.

Elle fut forcée de garder le sourire et de ne pas abandonner, peu importe qui se présentait à elle. Elle devait surmonter les obstacles pour le bien-être de ses jumeaux.

Il était de son devoir de les protéger et de veiller à leur offrir le meilleur de lui-même et de ce pays. Kliiyane vint grimper sur la jeune femme pour dormir confortablement, il enfouit son visage dans ses seins comme d'habitude, elle lui caressa la tête.

« 20:30 »

La jeune femme arriva chez son grand-père.

Keyane ouvrit la porte à sa poursuite pour aller chercher le vieil homme qui se trouvait dans le jardin. Marwa souleva lentement Kliiyane sous son épaule, le conduisant dans la chambre à côté la de Sienne pour le mettre au lit.

Elle se débarrassa définitivement des vêtements de son fils pour en mettre d'autres, en prenant soin de ne pas le réveiller.

Elle éteignait les lumières à sa sortie.

Elle rejoignit le vieil homme dans le jardin.

____Marwa : Bonsoir papi.

____Amal : Bonsoir, ma petite.

Elle s'installa sur le canapé à côté de lui.

Le vieil homme mit la cuillère dans le boucher de Keyane. Il était concentré sur la nouvelle tablette offerte par le grand-père de la jeune femme, tout en regardant des dessins animés.

____Keyane : Je n'ai pas faim, papi.

____Amal : Une dernière cuillère.

____Keyane : Je n'aime pas.

____Amal : Pourquoi Keyane ?

Keyane : Ça n'a aucun goût.

Amal et Marwa éclatèrent de rire à sa réaction. Il grimaçait à la jeune femme.

____Amal : Moi aussi, je n'aime pas.

Le vieil homme remet la cuillère sur la table pour le souper aux épinards.

Keyena descendait des genoux de son grand-père. Marwa l'observait attentivement qui allait jouer au bord de la piscine.

____Amal : Vous êtes bien amusés.

____Marwa : Oui, ils étaient émerveillés par le changement d'atmosphère.

____Amal : Tu as pris ta décision.

____Marwa : J'y réfléchirai.

____Amal : Marwa, tu es la seule à rester avec moi. J'ai failli faire un arrêt cardiaque pendant ce vol il y a deux ans. Viens avec moi aux États-Unis, Caroline du Nord. Les enfants auraient une vie bien meilleure, ma petite.

____Marwa : Je n'ai pas le choix.

Amal : t'ont-ils pas promis dans le poste ?

____Marwa : Non.

____Amal : Tu pourrais faire une brillante carrière là-bas, ma petite. Le seul responsable, c'est Ernest qui a préféré de te marier plutôt que de booster ta vie professionnelle, tu es divorcée si tu es jeune.

____Marwa : Je ne veux pas parler papi.

____Amal :Cet homme a laissé deux enfants sur les bras, Marwa.

____Marwa :Il ne sait pas qu'ils existent.

____Amal : Ma petite-fille.

____Marwa : Respecte ma décision papi. S'il te plaît, je suis leur peur et leur mère en même temps, on n'a pas besoin de lui.

___Amal : Tu es têtue comme ta mère.

___Marwa : Je vais m'en sortir papi.

____Amal : À partir du mois de septembre, tu viendras vivre avec moi. Et il est hors de question que tu refuses, car ça ne marchera pas cette fois.

____Marwa : D'accord, grand-père.

" MOSCOU : RUSSIE "

« POINT DE VUE DE NICHOLAS »

Clerk et moi jouons au golf depuis notre arrivée au club. Nous nous retrouvons presque tous les week-ends pour une partie.

Je m'assoi dans cet air dédaigneux et retire ma casquette blanche pour me passer les mains dans les cheveux et respirer un peu de cet air frais qui m'a parfaitement détendue.

J'ai pris une bouteille d'eau pour boire une gorgée, car la chaleur était insupportable.

___Clerk : As-tu d'autres nouvelles de Marwa ?

____Moi : Non depuis la dernière fois.

___Clerk : Mais ça va faire deux mois.

___Moi : La directrice n'a pas voulu m'en dire plus. Je n'ai pas trop insisté.

___Clerk : Elle est intelligente, cette petite.

____Moi : Elle m'a aussi surprise.

____Clerk : Qui pouvait l'aider ce jour-là ?

____Moi : Nul autre que Sarah, elles étaient très proches quand elle habitait au château.

____Clerk : Tu as parlé au dectective ?

____Moi : Oui.

____Clerk : Penses-tu que Marwa se cachait de toi ?

____Moi : Je n'en doute pas.

___Clerk : Elle ne voulait pas te voir.

J'affiche cette expression tendue.

___Clerk : Nick, il faut être honnête.

___Moi : Si elle va bien, ça me rassure.

____Clerk : Tu dois accepter les changements. Elle n'est plus la jeune femme que tu as connue quelques années plutôt.

____Moi : Marwa sera toujours la petite-fille que j'ai rencontrée à ses 15 ans. Je n'ai pas l'intention d'abandonner jusqu'à le retrouver.

«FLASH-BACK»

Je suis entré dans la chambre dès que j'ai fini de prendre ma douche dans mon pyjama.

J'ai vu Marwa endormie dans le lit.

Je suis allé m'asseoir au bord du lit et j'ai regardé mon téléphone qui était sur la table de chevet.

Il était 3 h 40 du matin.

J'ai retiré le drap pour m'allonger sur le côté.

De l'autre côté du lit, je m'avançai pour prendre la jeune femme dans mes bras et l'embrasser dans le cou et le visage.

Ma femme se sentait si bien que j'étais davantage attiré par la continuité de mon appétit qui commençait à augmenter progressivement par les baisers que je déposais sur tout son corps.

Elle revint avec un léger sourire qui me fit plaisir par son obéissance.

____Marwa : Tu es de retour, mon amour.

____Moi : Ouais.

____Marwa : Tu te sens tellement bon.

_____Moi : J'ai déjà pris ma douche.

_____Marwa : Ton corps est si frais.

Elle sourit tendrement et me caressa le visage. Je lui ai tenu la main dessus.

____Marwa : Il avait un problème au travail.

____Moi : J'ai passé près de 10 heures à écouter ses hommes, et malgré tout, on n'a pas fini sur une bonne note.

____Marwa : Tu vas repartir en mission ?

____Moi : Nous n'avions pas encore trouvé de terrain d'entente. J'espère que ces deux pays ont réussi à mettre fin à cette guerre. J'ai dit à mes collègues qu'il n'était pas nécessaire d'intervenir notamment, je n'ai envie de partir.

____Marwa : Autant que moi, mon soldat.

____Moi : Ton soldat ? Je ris.

Elle hoche la tête et rit joyeusement.

____Marwa : Oui, tu es mon Soldat.

____Moi : J'adore Mme Krachvenko.

____Marwa : Je t'aime mon amour.

____Moi : Tu m'appartiens Marwa.

Ils s'embrassent fougueusement.

Nicholas avait la tête enfouie dans la poitrine de la jeune femme, les mains serrées autour de la taille de cette dernière qui ne pouvait bouger par ses muscles si lourds

Elle frotte cette main dans ses cheveux pour l'endormir comme un enfant qui a besoin des caresses de sa mère. Marwa admirait amoureusement son mari dans son sommeil, il est si mignon et charismatique qu'elle se sentait si fière d'être sa femme.

« FIN DU FLASH-BACK »

J'ai tendu la main sur la table dans ce visage sombre et ridé de mon ami pour me soulager.

___Nicholas : Marwa ne peut pas m'oublier facilement, bien sûr, elle est en colère mais elle est toujours amoureuse. Ai-je articulé.

___Clerk : Tu es trop confiant, Nick. Il répéta.

____Nicholas : Nous nous réconcilierons une fois que nous nous verrons. Je le confirme.

___Clerk : Si tu me le dis.

" TROIS SEMAINES PLUS TARD "

« POINT DE VUE DE MARWA »

« JEUDI, 18h45 »

Mes enfants et moi sommes arrivés à Moscou il y a trois semaines. J'ai repris mes deux emplois respectifs, et cela m'a beaucoup aidée à reprendre mon cours normal après cette tempête.

J'ai terminé plusieurs chroniques pour le magazine STEELE qui seront publiées très prochainement pour le nouveau projet que le rédacteur en chef m'a confié à la demande des lecteurs. Tous ces progrès se sont améliorés depuis mon retour. En toute sincérité, cette pause a beaucoup apporté à ma vie personnelle et professionnelle.

J'ai regardé autour de moi: presque tout le monde était déjà parti sans que je m'en rende compte. Vu comment j'étais absorbée dans mon propre univers.

J'ai ramassé tous mes effets personnels pour les remettre dans le sac. Je me suis levée de ma chaise pour ajuster ma tenue.

J'ai retiré mes lunettes pour ne pas m'abîmer les yeux avec les écrans qui clignotent qui sont devant moi pendant plusieurs heures.

J'ai reçu un message de Sarah.

« MA BELLE, JE REVIENS DU BOULOT, NE T'INQUIÈTES PAS POUR LES GARÇONS.»

J'ai quitté la pièce en appuyant sur le bouton de l'ascenseur pour entrer, la porte s'est gracieusement refermée pour descendre à la réception. J'en ai profité pour appeler un Uber pour venir me chercher.

J'ai quitté le bâtiment pour attendre mon Uber mais ce sourire poli m'a captivé. Il était assis sur le capot de cette Lamborghini, ce bouquet de mes fleurs préférées à la main. Il m'adressa un sourire malicieux, surpris par cette surprise qui me rendait heureuse de le revoir après six mois d'absences qui n'avaient pas affecté notre relation malgré les circonstances de la vie.

Il s'est redressé fermement pour être à mon niveau lorsque je me suis positionnée.

Il se penche pour m'embrasser sur la joue.

J'avais ce sourire contaminé qui m'a fait tant plaisir que sa peau effleura sur la mienne.

___Moi : Bonsoir, Monsieur Olivier.

___Olivier : C'est pour vous, Mademoiselle Orl.

J'ai acceptée ce bouquet de fleurs dans un mine rayonante.

___Moi : Merci.

Cela me fait plaisir.

___Moi : Tu es à Moscou depuis quand ?

___Olivier :J’ai atterri cet après-midi.

___Moi :Ce n’est pas facile d'être pilote.

___Olivier : Tu n’as pas tort cependant j’aimerais qu’on aille dîner. Peux-tu m’accorder une heure, Mlle Orl ?

___Moi : J'accepte.

On se place sur le côté de la portière de la voiture, il me retient pour que je puisse m'installer à l'intérieur, puis il vient occuper cette place à côté de moi. Il a démarré le moteur en direction du restaurant.

Tout au long du trajet, on a commencé à discuter. Concernant son humour, je n’ai pas fermé la bouche une minute. Je suis attirée par ce jeune homme depuis des mois, si je dois être honnête, mais il faut que je résiste à l’amour et ne pas être brisée une fois de plus.

RESTAURANT, 19 h 20

Nous arrivons à un restaurant avec une vue magnifique sur la mer.

Nous étions sur le point de manger.

___Olivier : Quand tu vas finir par me tout raconter ? Jusqu'à présent, tu n’es qu’une inconnue malgré nos habitudes quotidiennes.

Il m’a affirmé avec un regard curieux.

___Moi : Olivier, je tiens sincèrement à te remercier de m’avoir sauvé la vie cette soirée, mais le mieux que tu saches de moi est le meilleur. Je n’aime pas révéler aux gens.

___Olivier : Tu me vois comme les autres Marwa.

___Moi : Non, je n’ai jamais dit ça. Nous sommes amis depuis quatre ans malgré la distance. Tu es important pour moi.

___Olivier : Alors je veux que tu me dises cette vérité ? La seule chose que je sais, c’est que tu t’appelles Marwa Orl, que tu as 29 ans et que tu travailles chez STEELE comme rédactrice et à l’hôtel, étant femme de chambre.

Je ris à cause de ses grimaces, je trouve ce type super drôle. J'ai posé ma main sur mon front et je l'ai fixé un moment.

___Moi : Tu as oublié que tu connaissais mon numéro de téléphone et tu ne m'as pas dit que tu venais à Moscou. Quel petit méchant tu fais, Olivier.

____Olivier : Je suis en vacances, alors je me suis dit, il y a une fille que j'aimerais vraiment connaître, même si elle m'a caché toute sa vie. Tu es tellement mystérieuse. Pourquoi n'essaye pas de t'approcher davantage ?

___Moi : Ah tu le trouves tant ?

___Olivier : Beaucoup, surtout une jeune femme qui n'utilise pas les réseaux sociaux pour poster à chaque seconde tout ce qu'elle fait sur Instagram ou d'autres réseaux sociaux. Les femmes d'aujourd'hui sont compliquées #Fête #accouchement #bébé #Ménage #Voyage #Mariage. C'est un peu bizarre quand même.

On ne peut pas s'empêcher de rire, ce jeune homme a un sens de l'humour chaleureux qui a fait ma soirée à sa guise.

___Moi : Tu vas me tuer ce soir avec tes âneries. Bravo Olivier, tu as gagné.

___Olivier : Je veux tout savoir, ma chérie.

___Moi : Je suis divorcée et mère de deux enfants jumeaux. Mes enfants ont trois ans, ce sont des hommes comme toi.

Je me suis confiée au jeune homme.

Son visage montre qu'il est surpris.

____Olivier : Tu es divorcée ?

____Moi : Je me suis mariée très jeune, deux mois après l'obtention de mon diplôme. Moi aussi, je ne m'attendais pas, vu comment l'histoire s'est déroulée entre mon ex-mari et moi. Tout s'est passée si vite, en quelques mois, j'étais sa femme.

___Olivier : Si je me souviens bien, tu étais enceinte ce soir-là quand je t'ai vue au bord de cette route à Kouamé.

___Moi : Ouais…

____Olivier : Tu le savais parce que le médecin n'avait pas prévenu Marwa.

____Moi : J’ai eu une dispute qui aurait pu me coûter ma vie et celles des enfants avec mon ex-mari ce soir-là. Nous en sommes venus à divorcer définitivement, il ignorait l’existence de ses fils. C’est très difficile pour moi, je ne voulais pas parler car je n’étais pas encore complètement guérie et je ne voulais pas lui pardonner non plus la mort de mon père.

____Olivier : J’ai parfaitement compris Marwa d’ailleurs, je te trouve très courageuse. Mère célibataire avec deux gosses, ce n'est pas facile, j'ai été impressionné par ta vivacité.

J’espère que tu finiras par oublier la souffrance et croire en l'amour à nouveau.

___Moi : Je n'ai rien contre l'amour. J'avais simplement épousé l'homme qui n'en fallait pas, notre mariage a été un échec dès le début.

___Olivier : Tu ne l’aimes plus Marwa ?

___Moi : Non Olivier.

___Olivier : Je suis là maintenant.

___Marwa : Mes enfants sont ma priorité.

Repondis-je d'un air moqueur.

Il a posé sa main sur la mienne, il l'a levée pour fixer une des deux mèches de cheveux qui pendaient sur mon visage.

Il a déposé un baiser sur ma main.

___Olivier : Tu es rayonnante, Marwa Orl.

___Moi : Merci Olivier.

___Olivier : Je suis coriace ma chère Marwa.

J'ai ri à son commentaire.

___Olivier : Je n'abandonnerai pas au premier obstacle. articula-t-il à nouveau.

___Marwa : Olivier....

____Olivier : Tu seras à moi. Il persiste.

Elle roula les yeux dans ce sourire capricieux.

Le jeune homme a exprimé son contentement à Marwa, qui a plutôt opté pour un silence radical à ses suggestions directes.

Il a taquiné sans arrêt la jeune femme.

Nous sommes arrivés à l'entrée du quartier.

J'ouvris la portière de la voiture pour sortir dès que j'eus récupéré mon sac. Je levai la main pour lui dire au revoir et continuer ma route pour rejoindre mon immeuble.

Le jeune homme regarda affectueusement Marwa, qui s'éloignait de plus en plus du pare-brise de la Lamborghini. Il sourit en pensant à leur soirée enrichissante et parfaite.

____Olivier : La plupart des hommes sont des idiots. Comment un homme peut-il laisser filer une telle femme au bout des doigts ? Cette femme est une bombasse.

Il se demanda en quittant le quartier et entra chez lui avec une expression radieuse et ferme que Marwa sera la tienne.


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Chapitre 15

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