TOME II
CHAPITRE 1
JE SUIS UN HOMME MARIÉ !
" POINT DE VUE DE VICTORIA "
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J'étais allongée sur ce lit, Mme Bauer, qui est ma gynécologue, a appliqué le gel sur mon ventre arrondi et a fait des allers-retours avec son échographie médicale.
J'ai regardé l'hystérosonographie avec beaucoup d'émotion. J'ai vu comment mon bébé bougeait dans mon utérus, je ne pouvais pas arrêter de rire et de pleurer à cause de cette pure merveille.
Mon frère m'a tenu fermement la main, il est venu en express pour m'emmener à mes rendez-vous médicaux pendant ma grossesse malgré le fait que je voulais partager ce bonheur avec ma belle-mère aussi, elle voulait rester pour aller récupérer Ash à la crèche cet après-midi.
__Moi : Qu'est-ce qui a provoqué toutes ces contractions à mon réveil ? Je l'ai demandé en arrêtant de regarder mon bébé à travers cet appareil.
__Votre fils ira bien, Mme Lee, et il est normal d’avoir des contractions à la fin du troisième trimestre de votre grossesse. Elle m'a rassuré.
__Moi : J'ai senti son cœur battre à travers moi, ma deuxième grossesse est différente de la première. Repondis-je en riant de contentement.
___Vous n’êtes pas la seule à vivre ce changement, votre corps a simplement réagi différemment.
__Ricky : Quand ma sœur pourrait-elle accoucher puisque c'est sa troisième échographie ? Demanda mon frère.
___c'est son deuxième enfant, à la fin de ce mois pour être plus précis, je vous garantis que je serai là pour son accouchement puis je pourrai partir librement pour mes vacances. Elle nous l'a confirmé.
___Ricky : Merci pour votre soutien Mme Bauer.
__Christian était mon collègue, il aurait voulu qu'il en soit ainsi. J'ai hâte que vous accueilliez votre fils, Mme Lee. Elle nous a souri gentiment.
__Moi : Moi aussi Mme Bauer. J'ai répondu en faisant un signe de tête à la dame.
__Ricky : Merci encore une fois.
En sortant de mon rendez-vous, je tenais fermement le bras de mon frère pour pouvoir marcher avec un bon équilibre.
Je tenais le bout de ma longue robe pour ne pas marcher dessus. Ricky a pris la précaution de me soutenir en me tenait par la taille jusqu'à la voiture car j'étais épuisée à chaque pas que je faisais.
Je suis trop pressée d'accoucher, j'en ai marre de rester coincée au lit pendant des mois même à la maison sans pouvoir être utile. J'ai besoin de quelqu'un pour m'aider en presque en toute chose sinon moi seule, je ne peux pas.
Mes deux pieds n'arrêtent pas de gonfler, le médecin m'a prévenu que je pouvais faire une crise d'éclampsie à cause de mes émotions et de mes larmes qui se répètent chaque nuit et chaque seconde où je me souviens de l'absence de Christian et de tout ce qui a provoqué ce drame.
J'ai pleuré en secret pour que les autres ne me voient pas, ils n'arrêtaient pas de s'inquiéter de mon état d'esprit, surtout ma famille qui avait peur que je retombe dans la dépression après la naissance de mon fils.
J'ai pris beaucoup de poids pendant cette grossesse, même mon visage est étiré, ce qui est presque compréhensible. Je ne me reconnais plus quand je regarde ma tête dans le miroir, c'est catastrophique. Je ressemble à une grosse baleine.
Le chauffeur nous attendait, mon frère a ouvert la porte et ils sont venus m'aider à m'asseoir et à boucler ma ceinture de sécurité.
Ricky vient prendre place à côté du chauffeur et moi, qui suis à l'arrière entrain de discuter avec lui.
Mon téléphone a sonné quand nous avons quitté le parking de l’hôpital. Je l’ai sorti de mon sac et je l’ai mis dans mon oreille.
__Moi : Bonsoir Lee-minho !
__Lui : Ma belle-sœur, comment vas-tu ? C'est mon cinquième appel téléphonique en une heure. J'étais absolument inquiet Vicky?
__Moi : Désolé, mon téléphone était en mode silencieux quand j'étais à mon rendez-vous à l'hôpital. J'ai souri à mon frère qui a tourné la tête pour me regarder sournoisement.
Il grimaça avant de reporter son attention sur l'itinéraire.
__Lui : Tout ira bien ? Il m'a demandé d'une voix paniquée.
__Moi : Oui, le bébé et moi allons très bien. Comment va ton fils? J'ai rapidement changé de sujet.
__Lui : Il se porte à merveille.
__Moi : Tu le salueras de ma part.
__Lui : Tu me préviendras dès ton arrivée chez toi.
__Moi : Ne t'inquiète pas.
J'ai doucement retiré le téléphone de mon oreille.
__Ricky : Que voulait ce type ? Il m'a interrogé.
__Moi : Comme d'habitude, des nouvelles à propos de nous. Je me suis lancé directement à mon frère.
___Ricky : Il n'a pas un hôpital à gérer au lieu de t'appeler toutes les trois heures, j'ai mal formulé ma phrase, au lieu de te harceler de cette manière étouffante.Il rétorqua d'une voix rauque.
__Moi : tu es impossible Ricardo, cet homme est tellement gentil et n'oublie pas qu'il est le petit frère de Christian. Tu ne penses pas que c'est normal du moins pour lui, il m'appelle pour voir si je vais bien ou pas ? Quant à mon beau-père qui s'adresse uniquement à Ash lors de ses appels à Hélène.
__Ricky : Waouh, Madame se plaint, tu ne savais pas qu'il ne t'a jamais voulu pour son fils. Qu'attendais-tu maintenant qu'il n'est plus là?
__Moi : Je te montrais simplement la différence. Cela n'a pas d'importance même si j'ai toujours voulu avoir une meilleure relation avec eux.
__Ricky : Ne t'inquiète pas Vicky. Je suis là pour toi, petite-soeur.
__Moi : En parlant de ton amour, tu pourrais passer au prochain restaurant pour m'acheter du poisson grillé ? J'en avais vraiment envie depuis ce matin.
__Ricky : Tu auras ton poisson grillé, petite sœur.
___Moi : D'accord.
Il tourna la tête pour me regarder en riant.
Les pieds grands ouverts, je me suis penchée en arrière, ce qui m'a rendu extrêmement confortable dans mon siège, et j'ai poussé mes fesses pour caresser mon ventre, revivant les souvenirs de mon histoire d'amour avec Christian les moindres détails qui m'ont fait sourire aux lèvres.
Il me manque terriblement, son absence dans ma vie personne ne pouvait combler son manque malgré le fait que mon entourage faisait tant d'efforts pour que je ne me sente pas triste ou seule.
J'ai remarqué que depuis le début de ma grossesse jusqu'à cette date, je ne pleurais pas en leur présence pour ne pas les faire souffrir ou leur faire comprendre qu'ils ne sont pas importants dans la vie. Au contraire, je remercie le Tout-Puissant et Merci à eux pour m'avoir aidé à traverser cette période très difficile.
« LE POINT DE VUE DE LEE-MINHO »
« SÉOUL, CORÉE DU SUD »
Je dois retourner à New York demain pour être auprès de Victoria qui aura besoin de ma présence dans les prochains jours.
Elle doit remettre en question notre amitié quand elle voit tous les efforts que je fais pour être toujours là au bon moment pour elle et ses deux enfants de cet idiot de Christian qu'était mon frère.
J'ai l'intention de convaincre Meirya d'épouser un homme bien et de retourner vivre ici à Séoul. Je ferai tout pour laver son nom après avoir été déshonoré par Ethan.
Je me suis levé quand il est apparu au bureau.
__Ji wang : Tu as des nouvelles de Victoria ou de ta sœur ? Je les ai appelés et je me suis tombé sur leur répondeurs. Je voulais savoir si les enfants allaient bien ?
___Moi : Je viens de le joindre au téléphone, elle était à l'hôpital.
__Ji wang : J'espère qu'elle va bien ainsi que ma petite Ha-Eun ?
__Moi : Elle est enceinte, père.
Les yeux fixés sur moi pleins de surprises.
__Ji wang : Ah ! Je vois. L'auteur est-il Christian ?
__Moi : Ouais. Elle a neuf mois, probablement parce que Christian est décédé il y a 8 mois. Elle attend un garçon. __Ji wang : C'est la meilleure nouvelle que j'ai entendue depuis des mois. Je veux aller à New York pour être le premier à voir le visage du fils de Christian.
__Moi : Quand partons-nous ?
__Ji wang : Demain matin.
___Moi : Je vais faire ma valise père.
___Ji wang : Ok.
Le jeune homme est heureux, Lia a été attristée par la nouvelle qu'elle a apprise que la jeune femme allait à nouveau donner naissance à l'enfant de Christian.
Son mari est entré dans leur chambre.
Elle allait s'approcher du jeune homme qui l'a ignoré catégoriquement. Elle devint si triste, elle regarda attentivement son fils qui dormait dans son berceau, il semblait que pour lui, ils n'existaient pas et cela lui brisa complètement le cœur par le mépris de son mari.
Elle tenta à nouveau en allant au dressings pour l'approcher alors qu'il sortait un à un ses vêtements de l'armoire pour préparer sa valise pour son voyage.
__Lia : Où vas-tu, Lee-minho ?
__Lee-minho : Es-tu aveugle ?
__Lia : Tu penses qu'il est temps de voyager alors je viens d'accoucher ? Seulement deux mois depuis que notre fils est là.
Il jeta tous ses vêtements par terre pour fixer la jeune femme avec une rage terrible.
__Lee-minho : Tais-toi Lia. Il a hurlé sur sa femme.
__Lia : Je refuse que tu me laisses parler sur ce ton Lee-minho. Je suis ta femme et nous avons un enfant, je pense qu'il est préférable que tu restes ici avec nous.
Elle éleva fermement la voix.
___Lee-minho : Oseras-tu élever la voix ? Il interrogea la jeune femme qui lui faisait face.
__Lia : Tu vas me frapper ou me battre ? Elle rugit fièrement.
Sans attendre, le jeune homme lui donna une gifle magistrale, elle fut choquée par l'attitude du jeune homme qui s'approchait lentement dans sa direction.
Elle recula rapidement, il en mit un autre plus fort que le premier.
__Lee-minho : Tu voulais que je te gifle ? Alors voilà, parce que c'est la dernière fois que tu me parles comme ça, je veux te répéter que tu n'as pas un centime et ton père n'est plus en vie pour te défendre.
Elle pleurait tellement qu'elle ne pouvait plus exprimer un mot, elle tremblait à chaque pas qu'il faisait vers elle.
Elle était appuyée contre la porte.
__Lia : Arrête, s'il te plaît. Continue à pleurer.
__Lee-minho : N'oublie pas que c'est toi qui m'as demandé de te frapper, chère Lia. Il se pencha pour lui murmurer à l'oreille.
__Lee-minho : Malheur à toi si tu dis un mot à père car je pourrais te tuer. Tu ne me connais pas vraiment.
Il menaça la jeune femme qui était pressée contre la porte dans une fixation anxieuse et effrayée. Il alla toucher son visage, elle tourna son visage bouleversé pour éviter son regard plein de satisfaction de son oeuvre puis il partit.
Elle pleurait silencieusement dans son cœur, les yeux grands ouverts dans un tel désespoir.
« RUSSIE : MOSCOU »
Au château de Krachvenko, tout le monde s'était à la table pour le déjeuner lorsque Marwa ordonna à ses serviteurs de bien servir ses invités.
__Marwa : Christian et Ethan, si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à m'appeler.
__Christian : Merci Marwa
__Ethan : Merci encore.
__Marwa : Toi aussi mon amour. Elle rétorqua à son mari.
__Nicholas : merci Mme Krachvenko.
La jeune femme quitta le salon pour se rendre à la cuisine et demanda au service personnel de la suivre pour terminer les préparatifs de la fête du nouvel an qui aurait lieu ce soir.
__Nicholas : Qu'avez-vous prévu ce soir ?
__Dimitri : Papa, je te conseille d'emmener ces deux gars en club pour profiter de la vie.
__Nicholas : Marwa organise une fête à la maison, nous ne pouvons pas quitter la fête pour aller au club ? C'est pour vous les gars.
Ils ont éclaté de rire bruyamment.
__Christian : Tu sais Nicolas, tu n'es pas si vieux. Le jeune homme a ajouté.
__Ethan : S'il y a des femmes, je serai là.
__Dimitri : Je m'en vais aussi.
__Nicholas : Sauf moi, je ne veux pas accumuler les problèmes, je suis trop bien dans mon couple.
__Christian : As-tu déjà trompé Marwa ?
Nick lança un regard surpris en regardant littéralement vers la cuisine pour jeter un coup d'oeil sur sa femme qui discutait avec le service du personnel pour répondre.
__Dimitri : De Quelle Marwa parles-tu ? Il a rapidement répondu à la place de son père par un éclat de rire.
Ethan et Christian ne pouvaient s'empêcher de rire devant l'expression du visage de Nicholas alors qu'il levait son verre de jus pour prendre une gorgée afin de s'éclaircir la gorge.
__Nicholas : Je n'ai pas pu tromper Marwa, mais j'ai vu d'autres femmes quand nous étions séparés. Ce n’est pas une tromperie à mon humble avis.
__Dimitri : Pourtant, ton cœur a failli s'arrêter le jour où tu as cru qu'elle allait épouser son ami qui était un pilote dont j'ai oublié le nom.
__Ethan : Quoi ? Le jeune homme rit.
__Nicholas : Il est inacceptable de voir ma femme, ma Marwa, la mère de mes trois enfants, dans les bras d'un autre homme qui n'est pas moi.
__Christian : Je suis d'accord avec toi Nicholas, je ne sais pas quelle bêtise je ferais sachant que ma femme a vu un autre homme dans mon dos, pour moi c'est de la haute trahison. Je ne le lui donne même pas. pas le droit de parler au téléphone à un autre homme si ce n'est pas son frère. confirme le jeune homme avec un cœur ouvert.
__Dimitri : J'ai confiance en ma femme mais Christian tu exagères surcertainspoints. Dimitri continua.
__Christian : Au contraire, je sais qu'elle ne me tromperait jamais, en gros ma femme ne me quitterait jamais. Il affirme en toute confiance.
___Nicholas : Ne vous laissez pas tromper si nous prenons leurs sentiments pour acquis parce que j'ai commis cette erreur avec Marwa, j'ai perdu cinq belles années dans la vie de mes fils. Même si elles nous aiment et parfois nous pensons qu'elles ne peuvent pas nous quitter, nous ne devrions pas faire de bêtises, sinon vous allez tomber de dix étages lorsque la réalité est là.
__Dimitri : Est-ce un péché de regarder ailleurs que nos femmes ?
__Nicholas : Si nous voulons la paix dans notre foyer, fuyons évidemment l’infidélité. Qu'en pensez-vous Christian et toi, Ethan ?
__Ethan : Nous sommes 8 milliards sur cette terre, il y a plus de femmes que d'hommes. Nous devons nous entraider dans la vie.
__Chrétien : Même le soleil trompe sa femme, car il se lève à l’est et se couche à l’ouest.
Ils éclatèrent de rire à la réponse du jeune homme, qui pinça les lèvres et leva les deux bras en l'air.
__Nicholas : Tu es trop impressionnable. Je dois éviter de m'impliquer avec vous trois, sinon j'aurais des problèmes avec Marwa.
Ils se moquent de l'expressionnisme de Nicholas qui s'affiche tout en continuant à observer sa femme de loin pour qu'elle n'entende pas un mot de cette conversation.
__Christian : Nick, ça ne veut pas dire que nous n'aimons pas réellement nos femmes, nous avions juste découverts un nouveau pays.
__Dimitri : Je t'aime trop, mec. Le jeune homme cria de contentement.
__Ethan : Je peux coucher et coucher encore avec qui je veux, je n'ai personne à qui rendre des comptes.
Le bruit du talon a attiré leurs attentions sur cette jeune femme qui venait de pénétrer dans le salon en entrant dans la salle à manger.
Elle porte un jean et un chemisier avec un teint blanchâtre et des cheveux blonds.
Elle vient se placer à côté du jeune homme et se moque des autres simultanément dans un rire joyeux.
__Brenda : J'ai l'impression d'interrompre une conversation intense entre les gars.
Elle regarda Christian en riant.
__Nicholas : Non, pas du tout. Bienvenue Brenda Stevens.
__Brenda : Merci Nick. Où est ta femme ?
__Nicholas : Elle est occupée mais tu peux lui parler ce soir, je t'invite à notre nouvelle soirée.
__Brenda : Je suis très excitée.
__Nicholas : Voulez-vous nous parler ?
__Brenda : J'ai besoin de parler à Christian en privé.
__Nicholas : Va au bureau. Tout est à votre disposition.
___Brendra : Merci Nick.
Le jeune homme se lève pour poursuivre la jeune femme dans le bureau comme Nicholas le leur a autorisé.
Christian est assis sur le bureau.
__Christian: Quand est-ce que je rentrerai dans ma famille ?
__Brenda : Tu es pressé de rentrer à New York.
__Christian: Agente Brenda, je fais tout ce que vous m'avez demandé de faire maintenant, je veux y retourner dans ma famille qui a besoin de ma présence.
__Brenda : Si vous retournez à New York, vous serez arrêté parce que toutes les preuves sont contre vous. Ils ont mis le titre de ce criminel sur ton dos, El Senior.
__Christian : Putain de merde. Il lui manquait plus que ça.
__Brenda : Restez ici jusqu'à ce que nous ayons un maximum d'informations contre ce type. Nous vous apprenons à mieux nous connaître Christian. Qu'en penses-tu ?
Il laissa échapper un rire cynique devant l'audace de la jeune femme qui était venue rapprocher ses lèvres des siennes.
Elle flirtait ouvertement avec lui, elle la caressait sensuellement tout en la regardant adroitement.
__Brenda : Tu me plais bien Christian. Elle a déclaré son amour au jeune homme.
__Christian : Je le sais parce que tu ne fais pas semblant et je n'aime pas quand une femme se comporte comme une idiote en ma présence. Il a répondu calmement.
__Brenda : Hmmm, tu es si dur, Christian.
__Christian : Je ne suis pas dur. Plutôt sincère parce que j'aime me demander pourquoi elle agit comme ça ? Mais pourquoi m'ignore-t-elle ? C'est comme ça que ma femme m'a séduit. Il s'affirme fièrement à la jeune femme.
__Brenda : Est-ce impossible nous deux ?
__Christian : Brenda, tu es belle et intelligente et ton physique laisse à désirer, cependant tu dois savoir que j'ai une femme pour laquelle je ne quitterai aucune autres femmes. Elle est la femme de mon combat et la mère de mes enfants puis je n'oserai embrasser aucune autres femmes qu'elle finalement je ne coucherai jamais deux fois avec une autre femme qui n'est pas elle.
__Brenda : Qui t'as dit que je voulais la place principale dans ta vie ? En plus, j'aime être la seconde.
Elle se pencha doucement vers sa bouche pour lui avouer.
__Brenda : Tu me plais tellement depuis le premier jour où je t'ai sauvé la vie. Caressa-t-elle doucement son visage pour continuer à déclarer lentement sa flamme.
___Christian : Vraiment. Il ajouta.
__Brenda : Je sais que je te laisse sur ta faim. Laissons de côté toutes ces formalités, femmes et enfants, pour une nuit, je veux t'appartenir corps et âme.
Je souris narquois tout en levant les deux bras pour examiner la jeune femme en silence.
Elle posa ses lèvres sur les miennes pour commencer à les embrasser sensuellement mais fut surprise que le jeune homme ne réagisse pas différemment à son baiser intense.
__Christian : Je n'aime pas les femmes faciles comme toi, chère agente du FBI. Excusez-moi d’être direct, car je ne suis pas un hypocrite. a-t-il confirmé à la jeune femme qui s'est éloignée de lui de manière honteuse.
© Auteure : Les Chroniques d'une Haïtienne
Chapitre 2
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